Déja une journée qui commence par un facesitting à la sortie du lit, comme ce matin, est une journée qui commence bien !

Mais alors ce soir, ma Maîtresse a surfé sur le net, puis elle est venue s'asseoir à mes côtés sur le canapé. Elle se plaignait d'avoir froid au main, et pour les réchauffern elle les a plongées dans mon pantalon, prenant mon sexe dans sa main. Elle trouvait que cela la réchauffait bien. Moi, je n'avais pas froid avant, par contre je commençais à avoir chaud !

Elle a déboutonné mon jeans, a sorti mon sexe qui s'était tendu sous l'effet, et l'a pris dans sa bouche, entamant une fellation divine. Mais elle s'est arrêtée en disant " je me suis cassée un ongle de ta faute aujourd'hui !". Par contre elle m'a fait comprendre qu'elle avait envie que je m'occupe d'elle.

Quel plaisir de la déshabiller, d'embrasser son corps, sa peau, de la caresser à genoux, de parcourir de me lèvres sa peau douce.

Bien sûr, très vite elle s'est retrouvée nue et sur le canapé, moi plogeant ma tête entre ses cuisses, atteignant de ma langue ses lèvres intimes et son clitoris me délectant de ce goût et de ce contact, de ce parfum ! J'étais bien à quatre pattes à satisfaire ma Maîtresse. Chaque gémissement m'emplissait de joie et me motivait à m'appliquer encore plus. J'ai glissé deux doigts en elle, titillant son clitoris de ma langue. Ele s'appuyait avec ses pieds sur mon dos.Elle a joui avec force, resserrant ses cuisses sur mon visage. Nous sommes restés ainsi quelques minutes. Moi à ses pieds, elle reprenant ses esprits. Je pensais que je ne jouirai pas ce soir mais je n'en étais pas malheureux. J'accepte très bien les choix de ma Maîtresse, parce que ce sont les siens !

Mais elle m'a fait asseoir dans le canapé, elle a baissé mon pantalon et est venue à califourchon sur moi. J'étais tojours en érection. Elle a guidé mon sexe vers le sien et est descendue dessus. Je sentais mon sexe pénétré en elle tout doucement, ressentant une douce sensation de plénitude. Elle a entamé des mouvements de bassin, qui me provoquaient des décharges continues de plaisir, j'ai joui en elle avec un immense plaisir, la jouissance était forte. Nous sommes restés ainsi quelques minutes. Nous étions heureux !

C'est si bon de s'aimer et toujours aussi délicieux de faire l'amour ensemble  après 20 ans de vie de couple ! 

Toujours être prêt à servir sa Maîtresse !

Nous avons passé un Noêl très agréable et familial. Cela n'empêche en rien que même dans ces moments je reste le soumis de ma Maîtresse, même si cela ne voit pas, c'est un état d'esprit et des attentions permanentes.

Et ma Maîtresse a su me le rappeler. Hier au repas du midi j'ai désobéi à ma Maîtresse à table. Bien sur personne ne s'en est aperçu, j'ai simplement refusé de manger de la salade, alors qu'elle me disait d'en prendre. En plus j'ai fait une réflexion idiote, pour faire de l'humour.

Plus tard dans l'après-midi nous nous sommes retrouvés tous les deux dans la chambre. Elle m'a fait mettre à genoux devant elle, elle s'est assise sur le bord du lit, son regard est devenu dur, sévère. Elle m'a pris la tête entre ses bottines et m'a courbé devant elle, la tête posée au sol. Elle a posé ses deux pieds sur le haut de mon dos et s'est mise à me frapper avec ses talons, fort, vite. Je ressentais chaque coup, j'en ai pris une bonne vingtaine. Elle était très en colère et elle a frappé avec son talon sur le crâne ! Je l'ai senti passer ! Elle m'a dit que c'était pour lui avoir désobéi. Elle m'a redressé et m'a asséné une paire de claque avec vigueur. Cela, c'était pour la réflexion !

Je peux vous assurer que je n'ai pas bougé, je ne me suis pas plaint non plus ! J'ai reçu la correction que je méritais pour la faute commise. Après ma Maîtresse m'a laissé. Plus tard, dès que j'ai pu je me suis excusé, sincèrement ! Ce n'est qu'après que ma Maîtresse a estimé que l'incident était clos.

C'est à ce genre de réactions que je peux dire que ma Maîtresse est vraiment une Maîtresse, une Déesse. C'est aussi pour cela que je la vénère, pour cette force, cette puissance, ce pouvoir, à l'ombre duquel il fait si bon vivre, pour un soumis !

Merci Maîtresse !