Hier soir ma Maîtresse s'est mise en colère !

En début de soirée, elle était en train de me faire un reproche et à un moment j'ai rigolé. A partir de là elle s'est mise en colère après moi. De plus je me suis excusé que bien plus tard.

En fin de soirée, voyant que mes excuses n'étaient pas acceptées je suis allé me coucher. Ma Maîtresse, est venue dans la chambre et s'est déshabillée. Puis, brusquement elle est montée sur le lit et m'a plaqué un pied sur le torse, et là elle s'est mise à ma frapper au visage avec son pied nu. J'ai du me prendre une bonne trentaine de coups, sur les joues, le nez, la bouche. Elle frappait fort !En même temps elle me disait combien elle était déçue par mon attitude, que je remplissais mal mes tâches, que je me comportais comme un égoïste et que je la négligeais. Par exemple je mettais du temps à exécuter ses ordres, que je les discutais. ses coups me sonnaient.

Elle m'inspirait de la crainte et en même temps beaucoup de respect.

Ensuite j'ai passé tout le temps où elle lisait son livre, au fond du lit à servir de bouillotte. A chaque fois qu'elle bougeait je prenais un coup au visage. Elle appuyait fort avec ses talons.

Ma Maîtresse m'a rappelé à l'essentiel : son bien-être avant tout, et non le mien ! Elle ne doit pas attendre, ni réclamer, mais être servi comme la Reine qu'elle est. Je suis son serviteur et je ne dois pas faire passer mes désirs avantles siens. Si elle ne me donne pas ce que j'attends c'est un choix qui ne doit pas entâcher ma soumission à son service.

Alors aujourd'hui j'ai filé droit et me suis remis à la servir avec zèle et abnégation : cuisine, repassage, petites attentions pour son confort.

Ce matin ma Maîtresse s'est habillée d'un superbe pantalon noir et rouge. Ses fesses étaient magnifiquement mises en valeur. Je la regardais plein de désirs.

Elle m'a fait signe de m'allonger afin de se servir de mon visage comme coussin le temps de mettre ses chaussures. Cela faisait très longtemps que ma Maîtresse m'utilise peu comme coussin et cela me manque car j'adore ça !

Elle s'est assise divine, m'éttouffant sous ses fesses à chaque fois qu'elle se penchait pour mettre ses chaussures. J'étais très excité et j'ai joui spontanément. L'excitation était si forte, je le désirai tant que je n'ai pu contenir cette jouissance.

Heureusement ma Maîtresse m'en a fait le reproche mais ne m'en a pas tenu rigueur !

Une déesse humaine !