Mercredi après-midi nous étions tous les deux un peu fatigués et nous avons décidé de faire une petite sieste.

J'ai été réveillé de ma sieste par un pied de ma Maîtresse me caressant les jambes puis le sexe. Elle m'a attiré contre elle, contre ses fesses. J'étais en érection. Elle a fait glisser mon sexe entre ses fesses et à commencer à onduler doucement, j'étais tendu contre son anus.

Elle m'a alors indiqué de descendre pour la lécher. Je me suis retourné et j'ai plongé ma bouche entre ses douces fesses qui s'offraient à moi. Ma langue à parcouru les replis de ce divin trèsor. Elle de son coté me caressait le sexe et le lubrifiait avec sa salive. Puis elle m'a fait revenir, mon sexe dur et tendu entre ses fesses. Elle a guidé le mouvement tout le long, allant à son rythme. Moi je ne bougeais pas. Je me laissais aller à ces sensations, profitant pour regarder ce délicieux spectacle. Elle m'a dit qu'elle voulait me sentir jouir en elle par là. J'ai joui, ce fut merveilleusement délicieux.

Après ma Maîtresse s'est mise sur le ventre, m'ordonnant de lui caresser les fesses. Puis mes doigts ont glissé entre ses cuisses et finalement en son sexe humide et acueillant. Elle a eu un orgasme foudroyant, jouissant en inondant le drap. Son seul commentaire, après pusieurs minutes, a été " je rois que tu as trouvé le point G ".

J'étais aux anges !

C'est dimanche soir que ma Maîtresse a décidé de mettre fin à ma chasteté, soit le soir du 16ème jour !

Avant cela il y a eu samedi matin avec une petite séance de baffes et de griffures avant de se lever. Samedi soir elle a exigé une pédicure et un massage des pieds. J'ai pu aussi lécher ses pieds, un délice en fin de journée !

Dimanche matin ma Maîtresse s'est réveillé tôt eta voulu rapidement son petit-déjeuner. Moi je n'arrivais pas à me lever alors elle m'a viré du lit en me griffant le dos sur toute la longueur puis en me donnant des coups de pieds pour me sortir de sous la couette ! Et autant vous dire qu'elle ne s'est pas posée de questions, elle a frappé fort !

Dimanche soir elle a voulu un massage des pieds. Avant je les ai longuement léchés afin de les rendre bien propres pour mettre la crème. Un vrai plaisir. Bien entendu ce genre de pratique m'excite grandement. Aussi quand elle a commencé à poser son pied sur mon sexe et à me caresser, j'ai vite vibrer. J'ai bien eu peur quand elle s'est arrêtée au bout de quelques minutes en me disant qu'elle pouvait décider de stopper là. D'autant qu'en bon soumis je lui ai répondu " oui Maîtresse ", alors que je n'avais qu'une envie : qu'Elle continue ! C'était un controle, sans doute, afin de s'assurer que même dans ces moments je ne perds pas la conscience de la place de chacun.

Finalement elle m'a conduit jusqu'au bout du plaisir en m'écrasant le sexe sous son pied et en le caressant alternativement avec ses doigts de pied. Ma jouissance fut abondante. 16 jours de chasteté enfin libérée !

Merci ma Maîtresse.

Dimanche nous passions la journée en famille et dans la journée j'ai contesté ma Maîtresse. Bien entendu, elle n'a rien montré de la nature de nos rapports, mais j'ai vu à son regard son mécontentement.

Le soir, lorsque je l'ai déshabillée, j'étais à genoux devant elle et elle a commencé à me mettre une série de giffles au visage, mes joues me chauffaient. Après elle m'a attrappé par les cheveux fermement et m'a donné des coups de talons sur les cuisses et un coup de pied sur l'entrejambé en appuyant bien. Elle m'a dit combien j'avais été un bien mauvais esclave !

Heureusement ma Maîtresse n'est pas rancunière et une fois que la faute a été sanctionnée elle estime que cela est suffisant. Mais elle attend alors un comportement exemplaire !

Hier soir la soirée a été toute différente. Déja je suis rentré très tard du travail et ma maîtresse avait tout fait à la maison. Et puis j'ai passé la fin de la soirée par terre, à ses pieds, la tête entre ses cuisses. Elle était en jeans. Un peu le nez plaqué contre son entrejambe, profitant de son parfum et sinon face à la télé et sentant ses cuisses enserrant mon visage, ses pieds croisés, les talons posés sur mon ventre.

Sur la fin j'ai glissé au sol, ses pieds se sont natrellant posé sur mon torse, ses talons reposaient sur mes épaules ou mon cou. Elle s'amusait à appuyer plus ou moins avec ses talons, m'étranglant plus ou moins, appuyant plus ou moins sur les os. Aujourd'hui j'en sentais encore les effets en passant la main. J'étais bien , je regardais ses cuisses au-dessus de moi. Une douce soirée !