Ce matin au petit déjeuner ma maîtresse et moi discutions et je lui disais combien j'étais heureux d'être son esclave, combien ma vie était un bonheur. Que je voyais qu'elle se sentait de plus en plus naturellement ma maîtresse.
Elle m'a alors dit qu'elle appréciait cette vie, qu'elle aimait beaucoup cette liberté et cette puissance qu'elle avait. Que l' idée de pouvoir faire tout ce qu'elle voulait lui plaisait beaucoup at qu' elle ne souhaitait pas revenir en arrière maintenant et cesser d'être ma maîtresse. Elle appréciait beaucoup de pouvoir être capricieuse. Pour moi ce n'est pas être capricieuse, elle a naturellement le droit de faire comme elle veut et ce qu'elle veut, selon sa seule volonté !
Ce sont de merveilleuses paroles. Pendant 17 ans il n'y avait que moi qui avait le désir de cette vie et aujourd'hui ma maîtresse apprécie autant que moi cette vie merveilleuse que nous avons.
Je suis un esclave heureux, et je sais la chance que j'ai d'être l'esclave de ma maîtresse !

27 novembre 2005