Depuis notre retour de Paris nous reparlons souvent de notre week-end et des plaisirs que nous avons vécus. Notre complicité totale, notre amour réciproque qui nous mène vers des plaisirs absolus. Et puis ces moments intenses de jouissance vécus à 3 !

En même temps notre vie quotidienne a repris ses droits : vaisselle, repas, cuisine, ... sont de nouveau à mon programme de mes journées. Ce soir Maîtresse, en attendant Seb, surfait sur des sites coquins, elle commençait à être excitée. Je suis venu à genoux près d'elle et Seb s'est alors connecté, je m'aprêtais à repartir pour laisser ma Maîtresse tranquilee mais elle m'a rattrappé par le tête pour me conduire vers son entrecuisee. Je me suis glissé sous le bureau et j'ai collé mon visage contre son jean, à l'emplacement de son sexe. Mon nez, ma bouche, frottant, caressant son sexe. Je voyais ma Maîtresse apprécier mes caresses. Pendant ce temps elle dialoguait avec Seb. Puis après 10 bonnes minutes Maîtresse à enlever son jean, mais elle a gardé son string. J'étais plus proche de son sexe et pourtant ce morceau de tissu m'empêchait encore de l'atteindre. Mes caresses buccales excitaient de plus en plus ma Maîtresse et le string est tombé à son tour. Ma langue a enfin pu atteindre ce trésor. Mes doigts ont commencé à pénétrer son sexe alors que ma langue léchait son clitoris. Maîtresse m'a freiné dans mes ardeurs en me disant que c'était trop bon et qu'elle voulait que ça dure. Je me suis appliqué à ralentir, à varier mon rythme et les caresses. Et elle a joui finalement avec force. C'était terriblement excitant d'être sous le bureau à la faire jouir dans cette position inconfortable pour moi. Ma Maîtresse s'est soucié de son plaisir et j'adore ça. Elle m'a juste dit " c'était bien esclave !"

 En plus le fait qu'elle raconte en direct ce que je lui faisais me plait. Et puis je me doutais bien qu'en cette période de ses règles ma Maîtresse souhaiterait avoir du plaisir, elle très souvent très excitée dans ces périodes. Je suis resté ensuite à ses pieds, allongé au sol à la regarder assise nue sur sa chaise, à espérer qu'elle me piétine jusqu'à la jouissance ou qu'elle s'asseoit sur mon visage et me caresse jusqu'à la jouissance. Mais après un bon quart d'heure Maîtresse m'a ordonné de la rhabiller que c'était tout pour ce soir.

Je sais que ma Maîtresse ne veut pas que je réclame une faveur sexuelle, c'est un aspect de ma soumission auquel elle tient ! Donc je me garde de demander quoique ce soit même quand mon désir est fort. Par contre je peux évoquer hors ces moments avec elle des désirs qu'elle prend parfois en compte. Mais là cela aurait été une demande donc je me suis tu.

Et puis elle est partie se coucher, ma déesse !