Ce midi nous avons mangé de la pizza et ma Maîtresse laisse toujours le bord de la croûte qu'elle n'aime pas. L'envie était trop forte et je suis venu m'agenouillé à ses pieds en lorgnant sur les croutes dans son assiette. Ma Maîtresse a tout de suite compris et m'a donné à manger avec ses doigts, morceau par morceau. C'était délicieux comme situation, j'aimerais vivre un repas entier comme ça. En tout cas quand elle m'a fait relever elle m'a fait remarquer la bosse qui déformait mon pantalon !

Après cela j'ai voulu lui parler d'un fort désir : être nu allongé au sol, elle hébillée et assise sur mon torse à se servir de ma bouche comme cendrier tout en regardant la télé et qu'elle m'écrase au moins un mégot (éteint !)avec ses semelles sur mon torse en étant debout sur moi. Mais ma Maîtresse s'est fachée, me disant que je l'ennuyais avec mes demandes, me demandant qui dominait, et qu'elle ne voulait faire que ce qu'elle a envie et ne plus m'entendre réclamer ! Je me suis rendu compte de mon erreur vis-à-vis de son statut et je me suis sincèrement excusé pour mon attitude.

Entre hier son refus d'entendre ma liste des tâches éffectuées et aujourd'hui son expression de son pouvoir, ma Maîtresse cadre clairement notre vie : elle décide et domine ! Quelle évolution en huit mois, nous sommes passés de la réalisation de mes désirs à la vie selon ses désirs. C'est une évolution logique, ma Maîtresse a totalement raison, je suis son esclave et non elle celui de mes désirs. C'est l'aspect de la soumission qui demande sans doute le plus de dressage, mais c'est un aspect merveilleux ! Servir sa Maîtresse avec abnégation et amour selon sa seule volonté.

Ce soir je n'ai rein réclamé ni montré aucune envie malgré mes pensées foisonnantes à la voir dans son jean asise devant l'ordinateur. Je me suis préoccupé de son bien-être et des taches ménagères. Et à l'heure de son coucher, comme chaque soir j'ai attendu à genoux ma Maîtresse pour la déshabiller. Elle se laisse déshabiller comme une reine, et j'adore lui oter ses vêtements et découvrir son corps au fur et à mesure, à son service qui j'espère la satisfait !

Ainsi va ma merveilleuse d'esclave, au service de ma Maîtresse, pour son plaisir.

Je dois m'arrêter là car ma Maîtresse m'a laissé l'ordinateur tard et m'a donné une heure limite qui ne me laisse que 30 minutes environ sur l'ordinateur !