Durant cette première semaine de vacances nous étions en montagne, alors pour relaxer ma Maîtresse, chaque jour je lui massais les mollets. J’aimais particulièrement le faire sur la petite terrasse du petit chalet en bois que nous occupions dans un camping. J’aime montrer publiquement ma dévotion envers ma Maîtresse. Et puis je me suis occupé du plus de choses que je pouvais mais ma Maîtresse tenait à ce que cela soit aussi des vacances pour moi donc elle m’a régulièrement aidé. Par contre le linge à laver à la main je m’en suis occupé à chaque fois, d’autant que ma Maîtresse m’avait dit avoir remarqué que les hommes faisaient volontiers la vaisselle mais jamais le linge, en camping. Quel plaisir alors pour moi de le faire et de le mettre à sécher aux yeux de tous. De même lorsque nous préparions nos sacs pour la journée je voulais mettre l’essentiel dans le mien afin que ma Maîtresse ait un sac léger à porter, mais comme elle est loin d’être une faible femme elle tenait à porter aussi les bouteilles d’eau par exemple.

La deuxième semaine nous l’avons passée sur la Côte d’Azur. Terrible semaine pour un soumis amoureux comme moi. J’ai vécu toute la semaine à côté de ma Maîtresse en maillot de bain presque toute la journée, à admirer son corps que j’adore sans avoir le droit à quoique ce soit !

Pendant cette semaine j’ai fait le plus de choses possibles car je tiens à mon statut de soumis. Je me rappelle que le mardi nous avons une petite sieste l’après-midi. Nous étions en maillot de bain tous les deux et ma Maîtresse m’a dit « cela m’excite d’être ainsi à demi-nus tous les deux » Alors j’ai commencé à caresser sa peau si douce et déjà dorée par le soleil du sud, je suis ensuite descendu tout doucement vers son sexe en couvrant son corps de baisers. Puis arrivé entre ses cuisses j’ai écarté son maillot de bain pour commencer à la lécher comme elle aime, en douceur de tout le long de ma langue. Ensuite mes doigts ont exploré son sexe humide alors que je titillais son clitoris. Elle a joui avec force. Je me suis redressé après quelques instants, le sexe tendu et je me suis approché, j’avais tellement envie de lui faire l’amour. Mais ma Maîtresse a dit «  Stop » . Je me suis arrêté et je me suis couché à côté d’elle, elle avait eu sa dose de jouissance et n’en voulait pas plus. Elle s’est endormie paisiblement, moi autant vous dire que je n’en ai pas été capable !!!

Après sa sieste quand elle m’a dit qu’elle avait bien dormi elle m’a regardé avec des yeux brillants et un sourire coquin en ajoutant «  toi tu n’as peut-être pas pu ! ». Le soir elle m’a fait allonger au sol le visage sur ses tongs et elle m’a utilisé comme tapis, se tenant debout sur moi un pied sur mon dos, l’autre sur ma cuisse, pendant qu’elle se déshabillait. J’ai adoré respirer la semelle intérieur de ses tongs pendant qu’elle était sur moi. J’espère le refaire avec d’autres chaussures, car c’est délicieux de respirer ce doux parfum en même temps que ma Maîtresse me marche dessus !

A partir de ce jour ma Maîtresse m’a demandé de la masser intégralement chaque soir. Elle s’allongeait nue sur le lit et je la massais avec une crème après soleil, ce qui m’excitait terriblement chaque soir ; Ma Maîtresse ne se souciait pas de moi, elle lisait un livre pendant ce temps, sans jeter un seul regard sur moi. Un soir elle m’a demandé de la photographier nue avec son portable. Je me doutais que c’était pour envoyer et exciter son jeune amant ! Evidemment cela exacerbait mon désir, ce qu’elle savait fort bien. Ainsi elle ne m’a pas fait jouir pendant cette semaine de tentation ! Jouant même à m’exciter. Un après-midi dans l’eau elle est venue contre moi me caressant le sexe en érection et me disant qu’elle adorait sentir ça ! Je lui ai fait remarquer qu’elle aimait me maintenir dans un état d’excitation et de frustration, ce qui l’a fait sourire et répondre «  cela ne fait qu’une semaine que tu n’as pas joui, c’est rien ! ».

Un moment que j’ai beaucoup aimé c’est lorsque je lui ai fait le vernis de ses ongles de pieds sur la terrasse du bungalow, visible par tous ceux qui passaient. Ma Maîtresse lisait sur une chaise me tendant ses pieds pour que je m’en occupe. Un délicieux moment pour un soumis adorateur !

Ah, tous ces moments d’excitation intense au service de ma Maîtresse ! Et de terribles frustrations ! Mais la jouissance que j’allais connaître à notre retour allait être très forte !