Depuis notre déménagement, nous avons été pas mal occupé par notre installation. Du coup ma Maîtresse s’est moins souciée de mon dressage, ce qui est logique. Moi-même j’ai relaché un peu mon service, même si je trouve que je me reprends bien. Ma Maîtresse a beaucoup participé aux diverses tâches. Mais maintenant je dois avouer que j’espère revenir très vite à la normale : être un esclave domestique, obéissant aux ordres de ma Maîtresse exigeante ; être un esclave sexuel donnant du plaisir à ma Maîtresse ; être un esclave dressé sévèrement ; être un esclave aux corps portant les traces de son pouvoir et de notre amour.

Hier soir être sous ses pieds, sentir ses talons sur mon corps, sentir la pression de ses semelles, soumis à sa volonté, m’a apporté énormément de plaisir. Je sais que j’ai besoin de vivre cette domination physique de la part de ma Maîtresse, j’aime tellement sentir la douleur de la cravache, des talons, des coups, être sous ses fesses, … C’est vrai je suis masochiste et je l’assume, moi cela m’apporte du plaisir, bien sur je sens la douleur mais cela transforme en un tel sentiment de plaisir !

Vivre aux pieds de ma Maîtresse est un tel paradis ! J’admire son exigence, sa force, sa domination élégante et décidée, sa liberté, elle me fascine lorsqu’elle exerce son pouvoir avec suprématie et sans hésitation.

Alors évidemment dans une période ou nous avons été très pris, il arrive inévitablement qu’au bout de quelques semaines je commence à ressentir le manque ! Je sais bien que c’est normal tout ceci et je ne m’en inquiète nullement. Et puis je connais ma Maîtresse, elle a apprécié cette année de vie D/s qui nous correspond si bien à tous les deux ! Et nous avons tant de choses à découvrir encore tous les deux !

Pendant ce mois écoulé ma Maîtresse a continué à être ma Maîtresse, mais c’est physiquement qu’elle m’a moins dominé, par la force des choses. Il y a eu quelques épisodes fabuleux et merveilleux, attention je n’ai pas oublié ( il suffit de relire les articles précedents ), je dis juste que cela a été moins fréquent, moins quotidien. Vivement que mon corps sente de nouveau quotidiennement qu’il appartient à ma Maîtresse ! Par exemple avant le déménagement je servais de tapis pendant minimum une heure et souvent bien plus sous le bureau le soir, très souvent je servais de coussin sous ses fesses pendant un bon moment, subir un piétinement fréquent et intensif sous ses divins talons …

C’est tout le problème quand on connaît une vie aussi merveilleuse que la mienne sous le pouvoir d’une telle Maîtresse, il est difficile de vivre les périodes forcées où les possibilités sont moindres !

Pour autant je veille à servir ma Maîtresse avec la plus grande application et le plus d’abnégation possible, car c’est ma vie, celle que j’aime, celle que nous aimons.

Enfin notre installation est en train de se finir et je sens déjà à quelques paroles que ma Maîtresse va réinstaller des relations normales dans notre couple !

A chacun sa place !