Lundi soir ma Maîtresse s'est fâchée après moi. Elle m'a ordonné de faire du repassage et j'ai refudé, prétextant de ma fatigue de la journée de travail. Elle est venue vers moi, j'étais assis sur le canapé. Elle aposé son genou sur mon sexe, à la base, reposant sur le haut des testicules. Et elle est montée sur moi. Son air était décidé. Elle s'est mise à califourchon sur mes cuisses et m'a planté ses ongles dans la peau du dos. Elle a serré de toute ses forces. Je sentais la brulure. Elle m'a dit que j'étais un gros feignant. Elle a commencé à me gifler, mais comme je relevais les mains pour me protéger, elle a cessé. Son regard était dur, son expression pleine d'autorité, elle me dominait physiquement et cérébralement. Elle était sublime et impressionnante.

"Tu oses te défendre, te protéger de moi !" A ces mots, j'ai compris mon ereur. J'ai immédiatement mis mes mains dans le dos en m'excusant. Elle m'a redonné deux gifles en me fixant droit dans les yeux. Puis elle a déboutonné ma chemise pour me pincer avec tous ses ongles la peau des flancs.

Elle s'est levée en posant son pied sur mon sexe te mes couilles et s'est redressée. Elle reposait de tout son pied avec un seul pied sur cette partie si sensible ! Elle m'a ensuite ordonné de m'y mettre rapidement. Je me suis executé immédiatement. En passant j'ai pris un coup de pied aux fesses.

Pendant le repassage ma Maîtresse regardait la télé, confortablement installée sur le canapé.A un moment elle m'a même refusé une pause.

Après le repassage elle m'a dit qu'elle était satisfaite du travail. Moi, j'ai remercié ma Maîtresse de m'avoir mis dans le droit chemin. Le soir je me suis endormi lové contre son corps tout chaud, heureux d'appartenir à une Maîtresse aussi divine, pleine d'autorité et ne négociant pas !

Et ce soir, ce fut différent. Ma Maîtresse me soumit en me faisant faire un travail que j'adore. Elle m'a fait allonger au sol, à ses pieds, pour lui nettoyer ses bottines, qui en avaient besoin. Elle m'a posé un pied sur mon dos nu, son talon bien planté dans ma peau, sa semelle reposant aussi dessus. Et elle m'a présenté son autre pied devant ma bouche. Quel plaisir immense de lécher ce cuir en sentant mon dos sous son autre bottine. Surtout que pendant mon léchage elle vrillait bien son talon dans ma peau. Ma main était coincé sous la semelle de la bottine que je nettoyais avec dévotion. Puis elle m'a ^résenté l'autre bottine à lécher. Quand je remontais le ong du cuir je la regardais, majestueuse dans la canapé, regardant la télé, ne s'occupant pas de moi à son service. Après elle a reposé son pied sur mon visage, sa semelle et son atlon en appui sur moi et en même temps elle m'a écrasé la main sous son autre talon. C'était bon ! Elle m'a ensuite caressé le visage avec sa semelle etm'a fait me relever.

En se couchant elle était très satisfaite de voir comme ses bottines brillaient, moi j'étais fier de mon efficacité !

Merci ma Maîtresse !