Mari soumis et amoureux
Ce midi ma Maîtresse était si belle et si désirable que je n'ai pu m'emp^cher de venir à ses pieds à la fin du repas. Elle m'a alors mis en travers de sa chaise pour s'asseoir sur moi profitant ainsi d'un coussin confortable et chaud. Je la sentais sur moi, avait une vue imprenable sur son talon près de mon visage et elle me caressait les fesses en même temps lorsqu'elle m' a dit combien elle appréciait ce pouvoir qu'elle avait maintenant sur moi et qu'elle n'y renoncerait plus maintenat. Combien ses paroles m'enchantent ! Je lui ai dit en lui disant aussi que parfois je la trouvais trop gentille avec moi mais que ce n'était pas un reproche juste ma vision.
C'est vrai que je remarque bien que parfois elle me passe des choses qui pourraient mériter une réaction de sa part, moi je me sens heureux quand elle me punit autant que quand elle me récompense. J'ai besoin de sentir vraiemnt son pouvoir sur moi, entre autres physiquement pour être heureux.
Après cela elle est allée aux toilettes et quand elle a fini elle a claqué des doigts. J'ai accouru, je me suis assis par terre, j'ai basculé la tête en arrière pour la glisser entre ses cuisses et pouvoir la lécher alors. Comme j'aime quand elle me permet de la lécher, de la nettoyer après qu'elle ait uriné. Pour moi c'est un pur délice. Elle me regardait de toute sa hauteur avec un regard très dominateur et supérieur !!!
Puis elle a de nouveau claqué des doigts quelques minutes plus tard cette fois-ci je devais servir de tabouret devant la coiffeuse pendant qu'elle se remaquillait. Me prévenant que je n'avais pas intérêt à bouger. Quand elle a fini elle m'a donné trois petits coups sur la nuque pour marquer son pouvoir et la fin de mon service. Puis elle m' a fait remarquer qu'il faudrait que je me muscle un peu !
Ce soir, la chance d'être sous ses talons sous le meuble informatique. Mais j'ai senti le désir monté alors je lui ai demandé si j'étais autorisé à jouir. Elle m'a alors fait retourner et a plaqué sa semelle sur mon sexe. J'étais aux anges. Puis elle s'est levé et s'est assise sur moi pour me caresser, elle sait combien j'aime ça. Tout d'un coup elle a stoppé en me disant tu sais très bien que tu ne jouiras que de la façon que je veux depuis ce week-end. Et oui, j'y ai cru, mais elle m'avait prévenu, tant que je ne lui aurais pas donné le plaisir qu'elle attend je n'aurais pas de plaisir !
A moi d'être à la hauteur de ses attentes, c'est normal pour un esclave que de tout faire pour satisfaire sa Maîtresse !