Mari soumis et amoureux
Mardi soir
Maîtresse m'a dit de lui préparer son repas, elle m'a indiqué ce qu'elle désirait précisément. Par contre la dernière phrase m'a surpris. " Tu manges pendant que tu me prépares mon repas car après tu n'auras plus l'occasion "
Quand son repas est prêt je la préviens. Elle m'appelle .
" Esclave aux pieds
-oui Maîtresse
_mets- toi à quatre pattes devant le canapé, nu bien sur
- oui Maîtresse "
Maîtresse reviens avec son repas sur un plateau, elle pose sur mon dos, s'installe confortablement, allume la télé. Elle mange, tranquillement, sans se soucier de moi. Parfois elle se relève, en profite pour me marcher sur les mains au passage. Le repas dure longtemps, je commence à fatiguer. Elle a fini, mais elle laisse le plateau sur mon dos. Elle se lève, son film est fini, elle va alors à l'ordinateur et me laisse comme ça. Elle me traite comme un véritable meuble. Mes bras fatiguent de plus en plus, parfois je tremble un peu.
" Tu n'as pas intérêt à faire tomber quoi que ce soit. Tu as besoin de te muscler, je n'accepterais pas que tu ne puisse tenir le temps que je veux ! "
Je me concentre. Le temps s'écoule si lentement. Heureusement Maîtresse finit par m'enlever ce plateau. Elle revient.
" Bien, tu as tenu. Tu as le droit à une récompense. Coussin ou tapis ?
- Tapis, Maîtresse
- Allonge -toi "
Je m'allonge sur le dos. Maîtresse à toujours ses superbes bottes aux pieds. Elle monte sur mon torse, et marche sur place, je sens ses talons s'imprimer. Elle avance sur mon ventre et pose un pied sur mon sexe, elle fait demi tour, remonte jusqu'à mon visage, y pose ses semelles, Elle descende et me fait retourner. Autant elle m'a ménagé sur le côté face, autant je sens dès qu'elle monte sur mon dos qu'elle y va franchement. Elle me piètine tout du long, des fesses à la tête, fait de multiples aller-retours, marche sur place au milieu du dos, en haut, sur les reins. Le plaisir monte, je jouis.
Elle descend ! "Maintenant au lit, je suis fatigué "
Moi aussi ai-je pensé ! Avant de me coucher je ne peux m'empêcher d'aller voir dans la glace de la salle de bain les traces de ses talons. Je suis ébahi, c'est superbe, il n'y a pas une zone épargnée. Merci Maîtresse !