Mari soumis et amoureux

Les circonstances ont fait que nous étions rien que tous les deux pour ce réveillon du jour de l'an. Et ma Maîtresse s'est déchainée, toute la soirée pour notre plus grand bonheur à tous les deux !

D'abord un apéritif, des mots d'amour échangés. Nous nous sommes dits tout l'amour que nous avions l'un pour l'autre, les yeux dans les yeux. Les yeux mouillés d'émotion, le coeur battant plus vite. Nous avons atteint un degré de bonheur, de bien-être au-delà de nos rêves.

Maîtresse se sentait bien, heureuse, libre, elle a commencé à danser pour moi. Il faut dire qu'elle a toujours aimé danser, et a pratiqué la danse orientale, ce qui lui donne une sensualité dans les mouvements que j'apprécie beaucoup. J'aime son déhanchement sensuel.

Elle m'allumait de plus en plus. Elle a commencé à me caresser furtivement, en passant près de moi. Et elle a plongé entre mes cuisses, prenant mon sexe dans sa bouche, le léchant avec gourmandise, titillant de sa langue douce et chaude le gland hypersensible. Elle s'est arrêtée, a redansé, est revenue, a replongé. Elle me griffait le dos, les cuisses, les fesses, alternait avec de douces caresses, me gardant dans sa bouche. A chaque gémissement ou cri de douleur, elle me gifflait avec force en plein visage ou sur la tête. Maîtresse ne veut pas de plainte ! C'est la première fois qu'elle frappe aussi fort, que je sens cette force, cette puissance. Elle ne se posait aucune question, frappant pour corriger. En même temps elle savait le plaisir que je ressentais.

J'ai explosé dans sa bouche, elle ne m'a pas laché, continuant les mouvement de ses lèvres et de sa bouche, rendant le jouissance intense. C'est merveilleux de recevoir ainsi autant de plaisir !

Puis elle m'a redit tout son amour, les yeux brillants. Elle s'est relevée. On a commencé à manger les petits fours. Elle en a posé sur le bout de sa bottine, que j'ai mangé ainsi à quatre pattes, puis un autre qu'elle a piqué avec son talon et que j'ai gobé, ce qui restait au sol elle l'a écrasé avec sa semelle qu'elle m'a fait lécher. Quel plaisir que d'être ainsi allongé au sol à lécher la nourriture que ma Maîtresse me donne collée sous sa semelle. Elle était debout au dessus de moi et elle m'a planté ses talons avec force dans la bouche et sur le visage, le cou, me disant " Tu es ma chose, mon soumis ".

Elle est allée uriner, m'appelant pour que ma langue la nettoie, elle a tendu ses fesses vers moi, j'ai plongé mon nez entre ses fesses, ma langue récoltant avec délicé chaque goutte divine.

Elle a continué à danser, désirable, érotique, chaude ! On en était encore à l'apéritif, Maîtresse buvait un "cuba libre" c'est du rhum avec du coca, un des cocktails qu'elle préfère. Parfois, tout en dansant, elle buvait, ou bien se versait un peu de rhum-coca sur la gorge, et je voyais le liquide couler sur ses seins, elle se l'étalait partout, se caressait, et me faisait lécher.

Plus tard de nouveau une envie d'uriner, elle m'a ordonné de venir, m'a assis par terre, dos à la cuvette,m'a fait pencher la tête en arrière, au-dessus de la cuvette. Elle s'est positionnée, ses fesses et son sexe au-dessus de mon visage. Elle a uriné abondament, le jet directement dans ma bouche, sans retenue. Comme si j'étais la cuvette des toilettes, une place de rêve, un objet que j'envie plusieurs fois par jour et que j'avais enfin l'occasion de remplacer. L'urine coulait le long de mon visage, de mon cou, trempant mes vêtements. MMMMMMHHHHHHHHH !!!!!!

Puis retour dans la salle, suite du repas, foie gras, ....

Maîtresse prend une cigarette, accidentellement sa cendre tombe par terre, elle me regarde, regarde par terre et me fait signe de nettoyer. Je plonge et lèche le sol, j'avale sa cendre. Elle recommence volontairement cette fois, je replonge, re-nettoie. Plus tard une deuxième cigarette. Cette fois-ci je suis installé au sol, la tête en arrière, en appui sur mes bras, avec ses doigts elle me fait ouvrir grand la bouche. Elle secoue sa cigarette pour faire tomber sa cendre dans ma bouche, je suis son cendrier. J' fantasmais beaucoup sur cette situation, c'est fabuleux de la vivre. Plus tard une autre cigarette, je suis cette fois-ci allongé entre ses jambes, ma tête en arrière sur le canapé, entre ses cuisses, ses talons reposent sur mes cuisses, s'enfonçant. Je sers encore de cendrier, tout le long de la cigarette. C'est extraordinaire comme sensation. J'aime tant être un objet utiliatire. Ce soir c'est magique : wc, pq, cendrier, nettoyeur de semelle ! waouh !

Suite du repas, dessert. Tout ceci accompagné de mots d'amour tendres et passionnés.

Et  de nouveau Maîtresse a envie d'aller aux toilettes. Elle me prend, me fait agenouiller devant la cuvette, me fait pencher en avant j'ai la tête plongée dans la cuvette, elle me tourne le visage un peu de coté, elle se positionne au-dessus de moi, et elle urine encore avec abondance. Je sens ce liquide chaud couler sur ma tête, mon visage, j'en récolte un peu, j'aime le goût de ce champagne intime que ma Maîtresse me sert ce soir. Je rêve si souvent d'être sous elle à chaque fois qu'elle va faire pipi, que ce soir c'est merveilleux d'y être. Après cela je pense que j'auarais encore plus envie d'être son wc à chaque fois qu'elle aura envie, avalant tout, ne perdant rien.

Retour sur la canapé.Régulièrement Maîtresse me griffe avec ses ongles ou ses talons, un peu partout, dos, torse, cou, crane, à chaque gémissement, deux ou trois giffles me fouettent le visage. Je dois dire que j'en ai pris pas mal !

Je me retrouve en travers de ses genoux, elle me caresse les fesses avec douceur, les griffe, recaresse. Une main rentre dans mon pantalon, peu à peu un doigt s'aventure vers mon anus, j'aime ça ! Elle me défait mon pantalon, baisse mon boxer, mes fesses sont offertes. Elle a une main qui enserre mon sexe plaqué sur elle, une autre sur mes fesses. Elle glisse son doigt en moi, le retire, continue de me caresser le sexe; " Je veux que tu jouisses sur moi, à l'endroit de mon sexe " Sous l'effet de ses caresses expertes je jouis. Elle est heureuse, je me relève, elle regarde les traces de mon plaisir sur son pantalon " Génial " me dit-elle avec un grand sourire.

Nous nous souhaitons la bonne année, il est minuit. L'année a si bien fini que cela augure le meilleur pour 2006 !!!

Comme je l'aime ! Je crois qu'elle avait décidé de me faire une fête inoubliable. Elle a réussi c'est le plus beau réveillon de ma vie ! Tout ceci a duré plus de 5 heures !

Quand je repense à cette soirée je ne vois que des étoiles, un feu d'artifices, du plaisir pur !

Ah Maîtresse, comme je t'aime. Tu me donnes tant de plaisirs ma Déesse.

Merci !

Petit rajout exceptionnel de ma Maîtresse : 

"Loin des conventions et des dindes fourrées aux marrons, ce réveillon est le plus magnifique et le plus inoubliable de toute ma vie."