Mari soumis et amoureux

Nous sommes mariés depuis 17ans, nous nous connaissons depuis 1986, notre couple puis notre famille se sont construits au fur et à mesure des années, pour devenir depuis 4 mois une forteresse d'amour et de bonheur. Je vis la vie que j'ai toujours rêvée, et ma Maîtresse partage cette vie en y adhérant totalement. Ma peur, au début de cette relation Maîtresse/Esclave était que ma Maîtresse soit lassée de cette vie et veuille revenir à une relation classique. J'ai maintenant la conviction en ce mois de janvier que cela n'arrivera pas et que c'est bien notre vie réelle et solide que nous vivons et que cela durera ainsi. Et ceci me remplit de joie.

Ce matin mon père est décédé. Nous n'étions ni proches, ni en excellents termes... mais la peine est là bien sur... Ma Maîtresse m'a montré son amour et son soutien... avec de la tendresse, mais également avec ses ongles dans mon dos, avec quelques gestes dominateurs, ces gestes dont elle sait qu'ils me feront du bien, et particulièrement en ces moments difficiles. Cet événément a donc adouci quelque peu son attitude vis à vis de moi, et la punition qu'elle m'inflige depuis quelques jours est entre parenthèses.

Ce matin, après la douche, Maîtresse était nue dans la salle de bain, elle m'a alors autorisé à embrasser ses fesses. Je me suis agenouillé et j'ai plongé mon visage entre ses fesses, elle s'est alors collé contre moi. C'est si bon d'être là. Nous sommes allés dans la chambre nous préparer, elle a regardé mon sexe encore gonflé, le cockring augmentant l'effet et elle m'a dit que cela lui faisait envie. Malheureusement nous n'avons rien fait. Après nous être habillés ma Maîtresse m'a donné des consignes précises pour remettre en ordre la chambre. Je me suis exécuté mais j'avais mal compris un ordre et je n'ai donc pas fait le lit comme elle le souhaitait. Quand elle me l'a fait remarquer je me suis immédiatement excusé et j'ai fait tout de suite comme elle voulait. Après cela c'est l'éponge de la salle de bain qui avait disparu, une remarque et 3 secondes plus tard je revenais avec une éponge neuve et sans qu'elle ait besoin d'en donner l'ordre j'ai nettoyé meuble et lavabo. Une fois fini je me suis rendu dans la cuisine et là elle m'a dit " tiens tu nettoies le sol, je veux une maison propre pour le week-end ". Donc balai, serpillière et hop lavage de toute la maison. Pendant que je frottais le sol de la sall à manger je la regardais debout près de la fenêtre, je ne peux m'empêcher de l'admirer, de la désirer. Mon regard s'est attardé sur ses fesses, tellement envie de me transformer en coussin !

Après le repas je suis allé faire des courses car ce soir nous avions des invités. Devant eux, relation "normale", sauf que je fais plus le service que ma Maîtresse à table, je veille à ce qu'elle ne manque de rien. Toutefois ma Maîtresse s'affaire aussi. Il y a une chose qui a été transformée chez moi, je m'aperçois qu'en société je ne coupe jamais la parole à ma Maîtresse alors qu'avant cela arrivait !

Puis les invités sont partis, Maîtresse est venue à l'ordinateur et je suis venu à quatre pattes près d'elle, posant ma tête contre sa cuisse, prenant le risque d'être repoussé. Mais finalement ma Maîtresse a posé une main douce et tendre sur moi. J'étais heureux de cette marque d'attention. Elle a ensuite guidé ma tête vers ses pieds, je me suis allongé le visage sur une bottine, l'autre reposant sur mon dos. Mon excitation est montée. Son talon s'enfonçait dans ma peau. J'ai demandé à ma Maîtresse si au cas où je sentais le plaisir venir je devanais la prévenir elle m'a alors répondu que ce soir j'avais le droit de jouir. Et j'ai joui !

Après je ma suis retourné, son talon s'enfonçait alors dans mon torse, je la regardais, assise, vue sur ses cuisses, son entrejambe, le visage concentré sur l'écran de l'ordinateur, impériale, reposant son pied sur son tapis humain !

Elle m'a relevé, m'a pris dans ses bras, m'a serré contre elle, douceur de son parfum, ses ongles s'enfonçant fortement dans mon dos.

Elle m'a laissé l'ordinateur et est partie se coucher.