Mari soumis et amoureux

Ce matin au réveil ma Maîtresse m'a fait mettre en position comme pour se servir de moi comme coussin. J'étais heureux je me disais que j'étais pardonné. En fait elle est restée debout au dessus de moi, ses fesses à quelques centimètres de mon visage, je désirais follement qu'elle s'asseoit. Elle ne l'a pas fait et est partie prendre sa douche. C'était une vraie punition pour moi, pas de celles que j'aime. Autant je supporte bien la frustration sexuelle, autant la frustration de domination est réellement dur à vivre !

Ce midi, en rentrant elle est allée rapidement aux toilettes et elle m'a appelé. Je me suis agenouillé devant elle le temps qu'elle finisse. Elle s'est levée et m'a ordonné de la lécher pour nettoyer son sexe. Je me suis empressé de coller ma bouche et de lécher de tout le long de ma langue. C'est si bon d'être ainsi utilisé par ma Maîtresse. Cela a duré quelques secondes avant qu'elle ne m'arrête. Depuis plus rien. Hier soir ma Maîtresse s'est occupée de tout me refusant même de débarasser la table à sa place. Je me suis senti mal, comme si je perdais ma place, ma Maîtresse me refusait le droit d'exister en quelques sortes.

Ce soir j'ai un peu retrouvé ma place. Par contre depuis hier midi ma Maîtresse ne m'a appelé une seule fois par le nom d'esclave ou de soumis ou par le petit mot codé qui me désigne comme son esclave.Je n'aime pas ça du tout, cette négation.Moi je continue à l'appeler Maîtresse, par respect et amour.

Je sais que je dois purger ma peine mais cela est dur car je ne sais rien, ma Maîtresse ne fait aucun commentaire.

Tout à l'heure elle était fatiguée, je lui ai fait un long massage des pieds car elle aime ça. Elle ne m'a rien dit, et puis elle y a mis fin en retirant ses pieds, c'était fini.

Je dois me rattrapper, montrer combien je pense réellement qu'elle est tout pour moi et au-dessus de moi. Je lui ai offert de belles roses bicolores aujourd'hui que je lui ai donné à genoux en lui disant combien je l'aime. J'ai eu le droit à une petite tape gentille sur la tête, c'est toujours ça !

Je suis tellement désolé de ce qui s'est passé, tellement honteux de mon attitude, tellement coupable d'avoir osé traiter ma Maîtresse ainsi.

Je l'adore tant, ma Maîtresse.

Sam 3 jun 2006 Aucun commentaire