Mari soumis et amoureux

Je n'ai pas arrêté de penser toute la journée à la soirée de ma Maîtresse.

Ce midi ma Maîtresse en a parlé un peu à table, elle disait son excitation. Elle disait sa satisfaction de vivre en toute liberté. Elle a trinqué avec moi en disant " à notre bonheur et à mon plaisir ". Belle formule qui résume fort bien notre vie ! Je lui disais combien cela m'excitait de la voir libre et avoir tous les droits alors que moi je n'avais aucune liberté et aucun droitpar rapport à elle. J'avais même aimé qu'elle me punisse d'avoir été aimable avec la nouvelle employée et que j'aurais adoré qu'elle me cravache durement pour cela ! Afin d'établir clairement sa propriété absolue et de le rappeler à chaque occasion qu'elle juge nécessaire.

Avant de retourner au travail ma Maîtresse s'est assise sur mon visage. J'ai vu son jeans arrivé sur moi, comme d'habitude elle ne regardait pas comment elle s'asseyait, pisque je suis alors un coussin. C'était délicieux d'être sous ses fesses, j'adore cette place, la meilleure pour un esclave ! Quand elle s'est relevée il était l'heure de partir, je l'ai suivi, j'étais en érection; Elle m'a saisi le sexe fermement en disant " pratique, cette poignée, rétractable en plus ! "

Ce soir je suis parti à la soirée pour le match et ma Maîtresse a donc reçu son jeune amant du soir. Avant de rentrer j'ai envoyé un sms afin d'être sur de ne pas la déranger.

En rentrant elle dormait presque, fatiguée, mais avec le sourire. Elle m'a donc dit peu de choses. Quand je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée, elle a souri et répondu oui !  C'est vrai que j'aurais aimé en savoir plus, mais je n'ai posé aucune question de ce type. Ma Maîtresse m'en parlera surement dans les jours qui viennent, ce soir elle est trop fatiguée. En plus elle sait que j'aime partager cela avec elle. Elle marque son amour pour moi en m'en parlant et elle prouve aussi qu'elle me respecte puisqu'elle ne me trompe pas ni ne m'humilie !

Je suis heureux que ma Maîtresse vive ainsi, elle si divine et suprême, une vraie Maîtresse !