Mari soumis et amoureux

Ma Maîtresse a passé sa soirée sur internet et sur msn à dialoguer avec Julien. Pendant ce temps je regardais le match car elle m'y avait autorisé. Ma Maîtresse a fini après le match et m'a signifié qu'elle allait se coucher. Ce qui veut dire que je la suis pour la déshabiller et ranger ses vêtements.

En montant l'escalier menant à notre chambre, elle a pris mes mains qu'elle a posées sur ses fesses. Je l'ai ainsi accompagné, sentant chaque mouvement au fur et à mesure. Dans la chambre je me suis immédiatement agenouillé devant elle pourlui oter ses vêtements. Lorsque je lui ai enlevé sa petite culotte noire, elle m'a ordonné de la sentir. Ce que j'ai fait avec grand plaisir et j'ai alors constaté que le fond était très humide. Elle me regardait avec un sourire coquin.

Elle s'est allongée sur le lit, sur le ventre. J'ai commencé à lui caresser les fesses qu'elle tendait vers moi. Très vite je lui ai léché l'anus. J'adore le faire, le visage contre ses fesses, la langue entre, à ma vue ses fesses st son dos, je suis au paradis dans ces moments. Puis j'ai glissé ma langue plus bas, sur son sexe, mon nez s'enfonçant alors entre ses fesses. Elle gémissait de plaisir, me disant que c'était bon. Elle m'a ordonné de la caresser avec mes doigts. Elle était très excitée. J'ai doucement introduit deux doigts dans son sexe, ma langue rejoignant son anus. Plus atrd avec mon autre main je lui ai caressé le clitoris. Stimulée de partout, elle a joui avec force. Son plaisir explosait. J'étais à genoux devant le lit. J'ai posé ma tête sur sa cuisse, heureux du plaisir que je venais de lui donner. Elle me caressait la tête avec son pied.

Elle s'est relevée et a pris la cravache noire, fine et longue. A ma grande surprise ! Elle a joué avec, la passant le long de son sexe puis me la faisant lecher. Elle m'a attrappé la tête pour me pencher en avant, elle me l'a coincée entre ses cuisses, posant ses pîeds sur mes mains. J'étais à quatre pattes, coincé par ma Maîtresse, qui commença à me cingler le dos et les fesses. Elle frappait assez fort. C'était bon. Cinglant, douloureux, mais délicieux en même temps. Je n'ai pas gémi une seule fois. Elle a ensuite plaqué son sexe sur ma nuque et ma tête et s'est frottée ainsi sur moi, son sexe encore humide du plaisir qu'elle avait eu.

Elle m'a redressé tout en me gardant à genoux, me faisant mettre les mains sur la tête. Elle a approché la cravache de mon sexe et a donner des coups secs sur mes couilles et mon sexe. Heureusement que j'avais encore mon pantalon. J'ai adoré ça, ce traitement m'a donné beaucoup de plaisir. Chaque coup associait douleur et plaisir. Je ne me suis pas dérobé et je n'ai pas esquivé les coups. Je la regardais fasciné, superbe, terriblement dominatrice et déterminée. Son regard me disait "je t'aime". Elle a frotté la cravache sur mon sexe me disant que j'avais le droit de jouir ce soir.

Elle a posé son pied sur mon sexe et a commencé à l'écraser avec force. Mais quand elle a senti mon érection, dure, mon sexe tendu, elle m'a ordonné de m'allonger immédiatement sur le lit. Elle a défait rapidement mon pantalon, elle est venue sur moi et s'est mise à me chevaucher. Elle me bloquait le haut du corps avec la cravache en travers de la bouche qu'elle maintenait, alors qu'elle imposait le rythme de mouvements souples et puissants, allant et venant sur mon sexe, le faisant pénetrer en elle au plus profond. C'était merveilleux. Nous prenions énormément de plaisir. Nous avons joui tous les deux, l'extase !

Alors merci Julien ! Je ne sais pas qu'elle a été leur dialogue, mais ce qui est sur c'est que ma Maîtresse était très excitée !

Après elle s'est couchée, nous avons parlé un peu. Elle m'a dit qu'un aspirant soumis, Fabien, souhaitait la rencontrer et qu'ils allaient se voir d'ici 15 jours pour déjeuner ensemble.

Ma Maîtresse a une vie bien remplie, pleine de plaisirs, une vie de Maîtresse !

J'ai tellement de chance d'être son mari-esclave-soumis. Je l'aime tellement, je l'adore, je l'admire !