Mari soumis et amoureux
Ce soir a été une soirée magique et merveilleuse, je n'ai pas joui et pourtant j'ai pris un immense plaisir.
Tout a commencé par des courses en fin d'après-midi. Bien évidemment je portais les sacs. Ma Maîtresse a eu envie de s'acheter une nouvelle paire de bottines. Dans le magasin, elle a repéré une paire qui lui plaisait bien. Elle l'a essayé et elle lui allait à merveille. En cuir noir, une boucle en métal en ornement sur le coté et un gros talon carré. Elle m'a surpris, car après son essayage elle m'a ordonné de lui enlevé en plein magasin et de lui remettre les autres, tout ceci au milieu des gens qui passaient et de la vendeuse qui n'était pas là. J'étais aux anges de servir ma Maîtresse publiquement. C'est moi qui ai payé. Et je me suis retrouvé avec un sac de plus dans les mains. Ma Maîtresse qui ne portait rien, ce qui est normal, me demanda sur un ton taquin si cela allait bien.
En route vers la maison, elle me dit qu'elle pensait bien les inaugurer ce soir ! Pour nous cela veut dire qu'elle m'en fera profiter ! J'étais impatient d'y être.
Ce soir, j'ai attendu sagement le moment où ma Maîtresse déciderait de l'inauguration tant attendue. En milieu de soirée elle m'a tout d'un coup ordonné de me coucher au sol devant elle. Et elle est montée sur mon dos, me piétinant sur toute la surface de celui-ci, marquant bien chaque pas, tournant sur moi, afin que ses talons ne ratent aucune zone. Elle a appuyé sur mon visage, ma nuque au passage. Elle est descendue de mon dos, me marchant sur les mains, et m'a fait lécher le cuir de ses bottines qu'elle glissait sous mon visage. Elle m'enserrait la tête entre ses deux pieds, me donnait sa semelle à déguster. Puis elle est revenue vers mon dos et s'est amusée à longuement me griffer avec les coins de ses talons. Elle appuyait fort, cela chauffait sérieusement, un pur délice !
Elle m'a fait retourner et a posé sa semelle sur mon sexe. je la regardais fasciné, elle avait enlevé le haut, elle était juste en soutien gorges, en jeans et avec se bottines. Elle m'a écrasé le sexe pendant un bon quart d'heure, changeant de position, de pieds, de force, appuyant, écrasant, caressant, tapotant. La plupart du temps elle écrasait sans ménagement mon sexe. Une douleur longue qui me donnaot beaucoup de plaisir. Elle s'est assise sur le bord du canapé et un posé un pied sur mon sexe et un autre sur mon torse, son talon en appui sur le côté. Et elle a de nouveau fait pression de ses semelles et talons. Elle voulait me faire jouir. Mais elle appuyait tellement fort que la jouissance ne venait pas. Elle s'est redressée et s'est mise debour au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mon corps. Debout, ses fesses à portée de mes mains, dans son jeans, si sexy. Elle a de nouveau recommencé à m'écraser le sexe sous sa semelle. Je la caressais en même temps, son corps ondulait, mes mains sur ses fesses, le long de ses cuisses, entre ses cuisses. Un divin spectacle !
Elle s'est baissée pour me défaire ma ceinture. J'ai cru qu'elle allait baisser mon pantalon. En fait elle a enlevé ma ceinture etm'a longuement fouetté avec. Sur le sexe, les testicules, les flancs. Elle frappait plus ou moins fort. Certains coups ont été portés avec force partout. Elle a même enchainé une série rapide sur mes couilles, chaque coup me faisait sursauté. Mais elle a surtout insisté sur le sexe, le fouettant dans tous les sens et sans retenue. Un plaisir merveilleux. Je reconnais et j'assume complètement mes plaisirs masochistes et ma Maîtresse me connaît bien !
Après elle est venue près de mon visage pour m'écraser la joue sous son talon et me faire lécher sa semelle. Puis elle s'est assise. Je me suis relevé, restant à genoux, pour venir embrasser et lécher ses seins si attirants. Elle m'a fait cesser. Je suis resté cinq minutes contre elle à la remercier de cette longue et délicieuse soirée, pendant ce temps elle platait ses ongles dans la peau de mon dos. Je lui disais combien c'était merveilleux de subir aussi longtemps sa domination physique et surtout que je n'avais pas éjaculé et pourtant j'ai joui physiquement et cérébralement. En plus je ressentais maintenant la frustration de mon sexe et cela était dur, donc délicieux. Elle a alors tapoté mon sexe en érection, l'a pris dans sa main pour me caresser, puis a donner quelques petites claques dessus en me disant qu'elle montait se coucher.
Je l'ai suivi dans l'escalier, mes yeux ne la quittant pas. Je l'ai déshabillée à genoux. Elle m'a donné ses pieds à embrasser ainsi que ses fesses. Elle s'est tournée versmoi, plaquant ses fesses sur mon visage, se pressant sur moi pour que je puisse embrasser son anus, mon visage enfoui en elle.
C'était une soirée d'enfer, magique et merveilleuse, où j'ai vécu mille plaisirs !