Mari soumis et amoureux

Déja hier soir ma maîtresse a porté mon excitation à son comble. En effet, alors que je finissais de la déshabiller à genoux, lui otant son string, elle m'a dit que je pouvais le sentir. Rien que de porter son string à mon nez et d'en humer les douces effluves, une érection est née. Mon sexe est devenu dur. J'avais terriblement envie d'elle, cette femme que j'aime, ma Maîtresse. Seulement elle avait envie de dormir !

Ce matin au réveil, je me suis réveillé contre elle, son corps chaud, sa peau douce, son parfum, éveillant tout de suite mes sens. De caresses en baisers, son corps s'offrait peu à peu. Elle m'encouragea à continuer par ses mots doux. Ses seins, son ventre, son sexe. Ma bouche s'en est emparée, ma langue s'y glissant, en manque de son goût. Je me suis relevé pour venir sur elle. Son sexe m'a accueilli, douceur d'être l'un en l'autre, faire l'amour. Cette expression y prend tout son sens lorsque les yeux chavirent de plaisir et de bonheur. La jouissance jaillit, explose, conclusion de cet amour si fort.

Ce fut bon, mais trop rapide. Cela faisait longtemps que j'avais pu faire l'amour avec ma Maîtresse, alors mon endurance a été faible. Mais ma Maîtresse ne m'en a pas voulu, heureuse elle aussi de ce contact.

Ce soir encore je l'ai regardé sublime dans son pantalon noir. Ses fesses m'obsèdent, j'ai tellement envie d'être longuement en-dessous ! Enfin patience !

En tout cas ce matin ce fut merveilleux !