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Je suis heureux ce soir ! Ma Maîtresse m'a redonné une place que je n'avais pas occupé depuis longtemps : sous ses pieds pendant qu'elle est à l'ordinateur ! Ce soir tout d'un coup elle m'a ordonné de venir à ses pieds, je me suis glissé sous le bureau, elle a immédiatement posé sa semelle sur ma tête, son talon m'écrasant la nuque. Elle appuyait fort, et sans ménagement, cela faisait mal et c'était bon !!!
Elle remuait pas mal son pied, son talon s'enfonçant dans ma chair. Après elle s'est attaquée à la peau de mon dos, griffant, enfonçant, vrillant son talon dans ma peau. Quelle divine souffrance d'amour ! En plus, elle avait placé son autre bottine sous mon visage. Je l'ai longuement léchée pendant que je subissais la loi de son autre chaussure.
Bien sur ce traitement n'a pas manqué de me faire jouir ! Ces douleurs là ne manquent pas la cible du plaisir.
Plus tard à son coucher, je l'ai déshabillée, divine dans un jean neuf. Je n'ai pas arrêté de l'admirer, surtout ses fesses divines que je rêve tant de sentir sur moi ! J'ai eu le droit d'embrasser ses seins et et ses fesses. Et puis elle a plaqué ses pieds encore en chaussette sur mon nez et m'a laissé rspirer profondément ces doux parfums pendant un long moment. Elle s'amusait a bien remué ses pieds sur mon nez, un délice !
Chouette soirée !!! Oui vraiment !!!
Les soirées se suivent et ne se ressemblent pas.
Mardi soir ma Maîtresse a pris l'ordinateur toute la soirée. Puis quand elle a fini, elle est venue s'asseoir à côté de moi, elle m'a attrappé par les cheveux et m'a jeté au sol à ses pieds. Elle m'a administré une série de coups de pieds sur les fesses, le dos, le visage et la tête, avec ses pieds nus. Tout ceci sans un mot ! Après elle m'a ordonné d'éteindre l'ordinateur, sans avoir le droit de l'utiliser, et de monter me coucher immédiatement. Quand je l'ai rejoint dans la chambre, elle m'a dit que c'était parce que je n'avais pas fait grand chose à la maison, que je ne m'étais pas assez occupé d'elle et qu'en plus elle avait envie de se défouler car elle avait perdu à un jeu et cela l'avait énervé.
Hier soir par contre ce fut totalement différent. Lorsque je l'ai déshabillée, elle m'a donné ses fesses à embrasser puis son sexe. J'ai senti qu'elle était excitée. Elle m'a ordonné alors de la rejoindre au lit. Je suis venu et nous nous sommes enlacés, nus l'un contre l'autre, laissant nos mains parcourir nos corps. Je me suis très vite retrouvé la tête entre ses cuisses, à lécher son sexe délicieux.
Puis elle s'est retournée, m'offrant ses fesses, ma langue léchant son anus de plus en plus en plus, mes doigts s'enfonçant en son sexe, de mon autre main stimulant son clitoris. Elle a joui ainsi, avec bonheur. Je me suis ensuite allongé à côté d'elle, elle a posé sa tête sur ma poitrine, reprenant son souffle. Sa main a trouvé mon sexe, en quelques caresses il devint dur. Elle m'a alors chevauché en amazone. Ses cuisses m'enserrant, ses fesses se plaqunt régulièrement sur mes cuisses, son sexe allant et venant le long du mien. Nous avons joui intensément tous les deux !
Ce fut merveilleux !
Voilà deux nuits passés avec la cage. Nuits interrompues par l'effet de la cage sur des érections naissantes. Cela serre très fort et bloque l'érection. En même temps je me sentais délicieusement soumis à la volonté de ma Maîtresse qui dormait à côté de moi. On s'habitue très vite à vivre avec la cage !
Mais ce matin ma Maîtresse a décidé de la retirer sans une explication. Je n'ai rien dit, ni posé de questions, si elle n'en dit rien d'elle-même c'est qu'elle estime qu'elle n'a pas d'explications à donner, et je respecte ce principe. Mais du coup je suis un peu frustré, je n'ai pas eu beaucoup le temps d'en baver !
La journée s'est passée en famille, très agréablement.
Quand je l'ai déshabillée ce soir elle a posé ses deux pieds nus sur ma bouche et mon nez. Ils sentaient délicieusement bon après toute une journée dans ses bottines. Un réel plaisir.
Ce soir, à la maison ma Maîtresse a dit deux phrases à ne pas négliger. D'abord que quand elle voudrait me remettre la cage elle aurait qu'à claquer des doigts pour que je lui donne la boite ( oui parce que je l'ai rangé en hauteur, loin de tout risque d'indiscrétion !).
Ensuite que j'allais payer pour l'avoir contredite ce soir à table ! Ceci ponctué par un sourire !
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