Ce matin réveil tout doux, caresses tendres de ma Maîtresse. C'est toujours bon comme sensation. Bien sur petit déjeuner au lit pour ma Maîtresse, servi sur un plateau composé selon son désir du jour. Elle aime vraiment beaucoup ça être servie au lit, c'est un de ses grands plaisirs. Plus tard, après le petit déjeuner, je suis contre ma Maîtresse, ma tête posée sur son bras, nous nous parlons tendrement. Elle me dit qu'elle ne m'a toujours pas pardonné mon écart de l'autre soir mais qu'elle m'aime quand même. Je lui réponds que je l'aime et que je ferai tout pour me faire pardonner.

Et puis ma Maîtresse commence à être excitée, elle glisse ma main vers son sexe, elle est déja humide. Je commence à la caresser et introduit doucement un doigt dans son sexe. Elle prend les boules de geisha qu'elle glisse dans ma bouche pour que je les mouille. Puis je les glisse très doucement en elle, je tire un peu, repousse, avec mon autre main, d'un doigt je caresse son clitoris, ma Maîtresse gémit, apprécie, me dit de continuer comme ça, elle a les yeux fermés, elle se laisse aller. Elle prend mon sexe dans sa main, le sent gonflé, elle me demande si j'aimerais venir en elle puis rajoute que non là c'est uniquement son plaisir à elle. Je glisse deux doigts en plus des boules, elle est trempée, je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort, puis son corps est parcouru de spasmes, elle jouit. Elle reprend ensuite peu à peu ses esprits. Elle sourit et me dit que dans quelques jours elle pourra disposer d'un sexe gonflé par le désir d'avoir attendu. J'ai tellement envie qu'elle me chevauche ! Je la remercie de m'avoir permis de lui donner du plaisir !

Puis après cela, douches, préparations. Je la regarde s'habiller, j'aime beaucoup quand elle en jean et soutien-gorge, elle le sait et reste un peu comme ça, pour moi, ça m'excite, j'ai envie d'elle.

Repas du midi, je me suis occupé de la table, du repas, et après de la vaisselle, comme pour ce soir. Ma Maîtresse cet après-midi s'est occupée sur l'ordinateur.

Ce soir elle s'y est remise et a longuement conversé avec Seb. Je la vois des fois sourire devant l'écran. Mais pour la troisième fois de suite je n'ai pas partagé cette conversation car ma Maîtresse ne m'a pas fait lire. Depuis que je suis puni je n'ai pas eu le droit de lire ses conversations. Elle sait combien j'aime partager ça avec elle donc elle me frustre. Elle ne m'en a pas dit un mot après, ni des sms après la conversation sur msn. Là je me sens très frustré mais je ne dis rien, ni ne pose aucune question, ça serait encore une faute, je le sais bien, car une atteinte à la liberté de ma Maîtresse ! Je me tais donc ! En plus je dois avouer qu'après les fautes que j'ai commises, dont la dernière grave, je me dis qu'un jour ma Maîtresse pourrait trouver un esclave plus performant que moi et je risquerais de perdre ma place d'esclave principal ! C'est pour ça que je fais tout pour me faire pardonner. Par exemple dès que ma Maîtresse exprime le moindre désir je fais tout pour la satisfaire immédiatement. J'arrête tout séance tenante pour la servir. Cet après-midi elle voulait un thé, je lui ai préparé et amené sur un plateau dans les deux minutes. Comme elle avait un chewing gum en bouche, elle l'a tendu pour que je le recueille dans le creuxde ma main, pour qu'elle puisse s'en débarasser sans avoir à se lever.

Au bout d'un moment, ce soir,  ma Maîtresse ne m'ayant toujours pas appelé je me suis risqué à venir à quatre pattes près d'elle. Et elle m'a accueilli par des caresses sur la tête ou sur mon dos. Puis elle m' a guidé au sol vers ses pieds. Une bottine sur ma tête et l'autre sur mon dos, je suis resté très longtemps. A un moment j'ai voulu me retourner pour être mieux installé mais elle a refusé. Plus tard elle a accepté, j'aime la regarder quand je suis à ses pieds, j'étais donc sur le dos, une bottine sur le ventre, l'autre sur le visage ! Et je pouvais entrevoir ses cuisses, son entrejambe au-dessus de moi. J'aurais bien aimé lui servir de coussin aussi ce soir mais assurément en ce moment elle n'en a pas envie, et bien entendu je ne réclame pas, cela m'est interdit.

Puis elle s'est levée pour me laisser l'ordinateur, ce qui me laisse peu de temps si je veux pouvoir dormir un peu, car demain c'est lundi et le travail reprend.

Maîtresse continue de me faire payer mon écart ! Ce matin elle m'a demandé si je le sentais bien le cockring qu'elle m'a posé mercredi soir. Quand je lui ai répondu que je le sentais, et que cela tirait lorsque j'avais une érection, elle m'a juste demandé si c'était supportable, mais elle me l'a laissé !

Ce midi je la regardais. Je la trouve si belle dans son jean , si désirable. A un moment je lui ai demandé si je pouvais déposer un baiser sur ses fesses, comme hommage. Elle m' a regardé très longuement dans les yeux. Je ne savais pas quoi penser ! Puis elle s'est tourné et a tendu ses superbes fesses vers moi. Je me suis agenouillé et ai avancé mon visage pour y poser mes lèvres. Je regardais fixement, plein de désir, l'objet de mes pensées. J'étais à 2 centimètres de ses fesses, lorsqu'elle est partie en disant simplement " faut que j'y aille ". J'étais très frustré mais j'ai fait très attention de ne rien montrer, d'être souriant de façon à ne pas l'indisposer par une réaction qui lui déplairait.

Ce soir j'étais en train de préparer le repas, debout devant la cuisinière, lorsqu'elle venur me caresser les fesses et le sexe à travers mon pantalon. Elle a juste commencé à m'exciter par ses caresses, et alors qu'une érection naissait tout juste elle a arrêté ses gestes. Quelle frustration ! Et en plus l'effet de l'érection a tiré le cockring me rappelant ma punition et son contôle total sur ma vie, ma sexualité.

Je fais très attention à servir ma Maîtresse le mieux possible, à ne pas contester, ni discuter, à acquiescer, à ne pas l'indisposer ou la mécontenter d'aucune façon. En ce moment elle pourrait me dire le ciel est vert et l'herbe est rouge ma réponse serait "oui Maîtresse". D'autant que je ne sais absolument pas combien temps durera le châtiment, le ressentiment de ma Maîtresse. Mais je ne tiens pas à risquer une prolongation ! De même je découvre au fur et à mesure les tourments qu'elle me fait vivre. C'est bien pire que si elle m'avait annoncé les punitions à l'avance !

Et ce soir évidemment aucun plaisir, ni ses pieds, ni es fesses sur moi,  rien, et pourtant comme je rêve d'être son coussin en ce moment, longtemps pendant qu'elle fait autre chose ( lire, regarder la télé, ...) et qu'au bout d'un moment elle me caresserait et me ferait jouir. Cela fait un petit moment qu'elle n'a pas fait ça que j'adore !

Il est évident que je ne fais aucune demande auprès d'elle,  je sais qu'elle décide seule et librement ce qu'elle veut faire. Le mieux est de me taire et d'espérer la fin du purgatoire. Mais c'est dur. Et en même temps j'admire sa puissance, sa supériorité, sa domination sur moi ! Elle me dresse avec exigence et je n'en suis que plus adorateur envers elle !

Aujourd'hui ma Maîtresse a continué à me punir pour mon écart d'hier.

Ce matin elle a resserré le cockring. Je l'ai senti toute la journée sur moi. Et je le porte toujours ! Dès que j'ai une érection ça tire et ça serre encore plus. Autant dire que je me sens vraiment contrôlé ! Dans la journée par sms elle m'a dit "Je t'aime mon esclave c'est pour ça que je te chatie bien ". Et quand je me suis agenouillé pour m'excuser de nouveau en lui disant combien je m'en voulais, elle s'est tournée vers moi en souriant et en me disant "moi aussi je t'en veux ". D'ailleurs elle ne m'a toujours pas pardonné !

Et ce soir je peux vous assurer que mes réponses à tout ce que disait ma Maîtresse allaient toutes dans le même sens : "oui " "c'est vrai " "tu as raison",..... A un moment elle l'a remarqué car elle m'a fait une réflexion sur ma cravate que j'avais laissée sur ma chaise en me disant que le chat ne jouerait pas avec si je l'avais rangée. Ma réponse a simplement été " c'est vrai " ( je n'aurais sans doute pas répondu exactement comme ça avant, j'aurais discuté un peu. Mais là rien). Elle m'a regardé, a souri, a hoché la tête avec un regard approbateur et sastisfait. Je crois qu'il vaut mieux que je retienne les leçons administrées par ma Maîtresse.

Le jeudi soir nous sommes fans de la série 24h chrono. Donc nous nous sommes installés sur le canapé quand cela a commencé. Maîtresse a étendu ses jambes sur moi et m'a dit en désignant ses bottines " Tu ne crois pas qu'elles auraient besoin d'être nettoyées" d'un ton impératif et d'un regard clairement autoritaire. Et effectivement je me suis agenouillé et j'ai commencé à les lécher. Elles étaient pleine de terre. Je les nettoyées intégralement, parcourant chaque centimètre du cuir plusieurs fois, les talons. Afin qu'ils ne reste aucune trace. Je devais me tordre au sol pour atteidre tous les endroits, Maîtresse ne bougeait pas, ne faisait rien pour me faciliter la tâche, elle regardait sa série, sans me prêter attention. Après je lui ai demandé si je devais nettoyé aussi le dessous, elle a acquiéscé. Je me suis glissé alors sous ses semelles et j'ai léché les semelles et le dessous des talons ( bon avec plaisir certes ) de façon à satisfaire ma Maîtresse. Elle de son côté était toujours captivée par le feuilleton ! Puis j'ai du lui enlever ses bottines et lui réchauffer les pieds, j'étais toujours agenouillé. J'ai pris le dessus de ses pieds dans mes mains et j'ai plaqué mon visage contre la plante de ses pieds. Je respirais le parfum de ses chaussettes. J'ai senti ses pieds se réchauffer peu à peu. Mais je n'étais pas très confortablement installé. Et la position est devenue fatigante, mais ma Maîtresse ne s'en est pas préoccupé, j'ai tenu aussi longtemps qu'elle le désiarit soit jusqu'à la fin du premier épisode, que je n'ai donc pas vu.

Elle m'a autorisé à venir sur le canapé pour le deuxième épisode, tout en éxigeant que je positionne ses pieds sur moi pour les tenir au chaud. Quand le deuxième épisode a été finie, je lui ai demandé si je pouvais aller sur internet et elle m'a dit " non moi d'abord ". J'ai eu l'ordinateur 2 h plus tard. C'est normal mma Maîtresse prime.

Ce soir je n'ai eu le droit ni de venir à ses pieds pendant le temps ou elle était sur l'ordinateur, ni à ce qu'elle s'asseoit sur moi, rien. Et ce soir non plus je n'ai pas eu le droit de lire sa conversation msn, comme hier !

Je l'ai servi pour son confort et son bien-être. Il est clair que ma Maîtresse tient à réaffirmer la place de chacun. Elle sait bien que la frustration est une punition très dure pour moi, enfin je pense que c'est pareil pour tout esclave qui adore sa Maîtresse. Mon rôle, ma fonction : la servir, la satisfaire. Elle me rappelle que ses désirs, ses droits priment sur les miens. Elle est la Maîtresse, je suis son esclave !