Hier soir ma Maîtresse m'a fait jouir avec une force incroyable.

Cela a commencé par un déchaussage. Ma Maîtresse m'a ordonné de lui enlever ses bottines. Quand j'ai vu qu'elle avait de superbes chaussettes en nylon épais, doux et noir, je me suis agenouillé devant elle pour en profiter pleinement. Je massais, caressais, sentais, respirais ses divins pieds. L'odeur était ennivrante et excitante. Le contact était doux, comme de la soie. Et ses pieds s'oofraient volontiers à cette adoration de ma part. Après quelques minutes je me suis retrouvé allongé au sol avec son pied sur mon visage. Bien placé, à la fois sur ma bouche et mon nez. Elle m'en a fait profité très longuement, jouant avec mon visage, ma bouche, me caressant sous sa plante de pied, plogeant ses orteils dans ma bouche, se posant sur mon nez. Elle a fait durer ce moment magique.

Et puis elle a placé son deuxième pied sous mon menton et m'a indiqué ainsi de me déplacer. Elle a alors posé un pied sur mon torse e l'autre sur mon sexe. Elle a alors commencé à me caresser le sexe sous son pied, le faisant rouler ou bien faisant des mouvements de va-et-vient sur toute sa longueur.J'étais au 7ème ciel.

Elle a coincé mon sexe entre ses deux pieds gainés de nylon et m'a branlé ainsi. Les sensations étaient fortes, intenses, puissantes. Je relevais la tête pour regarder ainsi mon sexe coincé. J'ai joui en éjaculant de longs jets, projetés en l'air et retombant sur ses pieds, ma cuisse, mon ventre. J'en tremblais de plaisir.

Elle a étalé mon sperme sur mon corps avec ses pieds et me les a ensuite fait embrasser.

Ce fut un long moment divin, délicieux. Un footjob d'enfer. Une jouissance merveilleuse !

Le stress du travail m'a conduit à un excès de comportement. L'énervement m'a fait inconsidérément perdre mon contrôle et m'énerver au travail, j'ai crié lors d'une réunion en me disputant avec des collaborateurs. Ma Maîtresse est au courant puisque nous travaillons dans la même entreprise.

La situation s'est arrangée mais ma Maîtresse a tenu à me donner une leçon, à me dresser. Avant cela elle s'est ocupée de moi avec douceur toute la soirée, mais en fin de soirée elle m'a ordonné d'aller chercher la cravache, la longue !

Elle m'a fait mettre à genoux devant elle et à commencer à la passer le long de mon visage, de ma bouche, de son corps, entre ses cuisses, posant avec assurance un pied sur ma cuisse. Puis elle m'a fouetté le dos. J'ai eu immédiatement une érection. Elle m'a fait mettre à quatre pattes, les fesses tendues vers elle. Elle m'a cinglé les fesses et le dos. S'arrêtant pour passer la cravache entre mes jambes, puis donnant trois petits coups sur mes testicules. Elle s'est mise à califourchon sur mon dos en me fouettant les fesses. Elle bougeait sur moi, je sentais ses fesses sur mon dos. Je sentais mon sexe dur et tendu.Elle s'est relevée et s'est remise à me fouetter très rapidement. Chaque coup associait douleur et plaisir, un régal !

Elle m'a enjambé, en profitant pour me marcher sur les doigts avec son talon. Et elle m'a fouetté de nouveau le dos. Elle s'est avancée pour placer son sexe sur mon nez et m'a dit de la remercier, Ce que je fais immédiatement. Elle a ajouté " juste une petite leçon de dressage pour que tu te rappelles qu'il n'y a que moi qui ai le droit de crier ". Elle m'a ordonné ensuite d'aller ranger la cravache.

Recevoir la cravache m'excite terriblement, j'aime sentir ce pouvoir, cette domination physique qui s'impose à moi, à mon corps.

Après elle m'a fait asseoir par terre à ses pieds et s'est amusée à me planter ses ongles dans la peau du dos et de l'épaule.  Puis elle s'est faite douce, m'embrassant tendrement, me caressant doucement le visage, je me suis laissé envahir par le bien-être.

Ma Maîtresse sait si bien prendre soin de moi et s'occuper de moi !

Ce soir a été une soirée magique et merveilleuse, je n'ai pas joui et pourtant j'ai pris un immense plaisir.

Tout a commencé par des courses en fin d'après-midi. Bien évidemment je portais les sacs. Ma Maîtresse a eu envie de s'acheter une nouvelle paire de bottines. Dans le magasin, elle a repéré une paire qui lui plaisait bien. Elle l'a essayé et elle lui allait à merveille. En cuir noir, une boucle en métal en ornement sur le coté et un gros talon carré. Elle m'a surpris, car après son essayage elle m'a ordonné de lui enlevé en plein magasin et de lui remettre les autres, tout ceci au milieu des gens qui passaient et de la vendeuse qui n'était pas là. J'étais aux anges de servir ma Maîtresse publiquement. C'est moi qui ai payé. Et je me suis retrouvé avec un sac de plus dans les mains. Ma Maîtresse qui ne portait rien, ce qui est normal, me demanda sur un ton taquin si cela allait bien.

En route vers la maison, elle me dit qu'elle pensait bien les inaugurer ce soir ! Pour nous cela veut dire qu'elle m'en fera profiter ! J'étais impatient d'y être.

Ce soir, j'ai attendu sagement le moment où ma Maîtresse déciderait de l'inauguration tant attendue. En milieu de soirée elle m'a tout d'un coup ordonné de me coucher au sol devant elle. Et elle est montée sur mon dos, me piétinant sur toute la surface de celui-ci, marquant bien chaque pas, tournant sur moi, afin que ses talons ne ratent aucune zone. Elle a appuyé sur mon visage, ma nuque au passage. Elle est descendue de mon dos, me marchant sur les mains, et m'a fait lécher le cuir de ses bottines qu'elle glissait sous mon visage. Elle m'enserrait la tête entre ses deux pieds, me donnait sa semelle à déguster. Puis elle est revenue vers mon dos et s'est amusée à longuement me griffer avec les coins de ses talons. Elle appuyait fort, cela chauffait sérieusement, un pur délice !

Elle m'a fait retourner et a posé sa semelle sur mon sexe. je la regardais fasciné, elle avait enlevé le haut, elle était juste en soutien gorges, en jeans et avec se bottines. Elle m'a écrasé le sexe pendant un bon quart d'heure, changeant de position, de pieds, de force, appuyant, écrasant, caressant, tapotant. La plupart du temps elle écrasait sans ménagement mon sexe. Une douleur longue qui me donnaot beaucoup de plaisir. Elle s'est assise sur le bord du canapé et un posé un pied sur mon sexe et un autre sur mon torse, son talon en appui sur le côté. Et elle a de nouveau fait pression de ses semelles et talons. Elle voulait me faire jouir. Mais elle appuyait tellement fort que la jouissance ne venait pas. Elle s'est redressée et s'est mise debour au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mon corps. Debout, ses fesses à portée de mes mains, dans son jeans, si sexy. Elle a de nouveau recommencé à m'écraser le sexe sous sa semelle. Je la caressais en même temps, son corps ondulait, mes mains sur ses fesses, le long de ses cuisses, entre ses cuisses. Un divin spectacle !

Elle s'est baissée pour me défaire ma ceinture. J'ai cru qu'elle allait baisser mon pantalon. En fait elle a enlevé ma ceinture etm'a longuement fouetté avec. Sur le sexe, les testicules, les flancs. Elle frappait plus ou moins fort. Certains coups ont été portés avec force partout. Elle a même enchainé une série rapide sur mes couilles, chaque coup me faisait sursauté. Mais elle a surtout insisté sur le sexe, le fouettant dans tous les sens et sans retenue. Un plaisir merveilleux. Je reconnais et j'assume complètement mes plaisirs masochistes et ma Maîtresse me connaît bien !

Après elle est venue près de mon visage pour m'écraser la joue sous son talon et me faire lécher sa semelle. Puis elle s'est assise. Je me suis relevé, restant à genoux, pour venir embrasser et lécher ses seins si attirants. Elle m'a fait cesser. Je suis resté cinq minutes contre elle à la remercier de cette longue et délicieuse soirée, pendant ce temps elle platait ses ongles dans la peau de mon dos. Je lui disais combien c'était merveilleux de subir aussi longtemps sa domination physique et surtout que je n'avais pas éjaculé et pourtant j'ai joui physiquement et cérébralement. En plus je ressentais maintenant la frustration de mon sexe et cela était dur, donc délicieux. Elle a alors tapoté mon sexe en érection, l'a pris dans sa main pour me caresser, puis a donner quelques petites claques dessus en me disant qu'elle montait se coucher.

Je l'ai suivi dans l'escalier, mes yeux ne la quittant pas. Je l'ai déshabillée à genoux. Elle m'a donné ses pieds à embrasser ainsi que ses fesses. Elle s'est tournée versmoi, plaquant ses fesses sur mon visage, se pressant sur moi pour que je puisse embrasser son anus, mon visage enfoui en elle.

C'était une soirée d'enfer, magique et merveilleuse, où j'ai vécu mille plaisirs !