Vive les week-ends. Voir ma Maîtresse toute la journée, la regarder, respirer son parfum, échanger regards et caresses furtives, et de tendres baisers, le bonheur.
Cet après-midi nous avons accrocher nos décorations, l'occasion de jeux pour ma Maîtresse. Par exemple je suis monté sur une chaise pour pendre un cadre. Alors que je plantais le clou, ma Maîtresse s'est amusée à passer sa main entre mes jambes pour me caresser les testicules tout en plaçant son pouce sur mon anus. Cela me faisait des sensations terribles, un trouble important. J'ai eu bien du mal à le planter ce clou. Dès que cela a été fait, elle a arrêté sa caresse qui me rendait de plus en plus fou d'excitation et de désirs.
A un autre moment elle m'a fait tenir un clou, elle a pris le marteau et a commencé à l'enfoncer. Accidentellement elle m'a tapé sur les doigts; Cela ne l'a pas fait cesser pour autant, elle a continué. Moi j'avais enlevé mes doigts. Elle a juste dit avec un ton ironique "dommage". Elle m'a fait refait tenir un autre clou, en me rappelant qu'hier soir et cet après-midi je l'avais taquiné un peu. Alors qu'elle enfonçait de plus en plus le clou, j'ai craint pour mes doigts et je les ai otés. Elle m'a obligé à les remettre et a continué. Puis avec le plat du parteau elle m'a donné des petits coups sur le sexe et les couilles, provoquant de petites douleurs et la peur qu'elle tape plus fort. Cette crainte était excitante, car j'étais complètement soumis à son pouvoir ! En tapant sur mes couilles elle m'a encore redit en rigolant que je n'aurais pas du la chercher ainsi !
Et puis ce soir, ma Maîtresse a passé un long temps sur internet. Au bout d'un moment je suis venu à quatre pattes, frotter ma tête contre sa cuisse. Elle m'a attrappé et m'a fait m'abaisser à ses pieds. J'aime ce geste, elle ne dit pas un mot et d'une main ferme me guide à ses pieds. A peine allongé elle a posé son pied sur mon dos, appuyant tout de suite avec son talon. Elle a glissé son autre pied sous mon visage. J'ai tout de suite couvert de baisers le cuir de sa chaussure. Je n'ai pas cessé d'embrasser et lécher le cuir de sa chaussure tout le temps ou je suis resté là, au moins 30 minutes. Pendant cette demi-heure elle a parcouru mon dos avec son talon, me griffant fortement, plantant son talon et appuyant en divers endroits de ma peau. Ce soir elle y est allée fort. Les douleurs étaient vives et en même temps jouissives. J'aime ça ! Terriblement !
Quand elle a arrêté elle est montée sur mon dos pour passer, elle est restée quelques secondes sur moi, les deux pieds sur moi, ses talons s'enfo,çant et ses semelles me plaquant au sol et elle remuait et marchait sur moi. Puis elle est allée aux toilettes. Elle m'a appelé. Je suis venu la rejoindre en me déplaçant à quatre pattes. Elle a baissé son pantalon et s'est mise debout au-dessus de la cuvette. Elle a plaqué mon visage contre elle et elle a commencé à uriner. Je sentais cette odeur si excitante de son sexe et de son nectar. Elle a basculé son bassin vers moi pour que je puissé boire un peu. Elle contrôlait par petits jets. Elle m'a fait boire ainsi 3 fois de petites quantités de ce champagne que j'adore, un délice ! Puis je l'ai léchée pour la nettoyer. Après elle m'a ordonner de nettoyer la cuvette et elle est montée se coucher. Je l'ai rejointe afin de la déshabiller et j'ai rangé ses vêtements.
Ce soir ma Maîtresse m'a annoncé qu'elle ne lirait plus mon blog "afin de ne pas être influencé par mes désirs et mes plaintes" ! Je comprends tout à fait sa décision, c'est le propre d'une Maîtresse de ne faire que sa volonté ! Je serais parfois autorisé à exprimer mes désirs de vive voix quand elle le me signifiera !
Je sens que ma Maîtresse franchit encore une étape dans sa domination et dans la conduite de ma soumission !
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