Cet après-midi en rentrant du travail ma Maîtresse discutions autour d'un verre. J'en ai profité pour lui demander si je devais m'occuper de quelque chose pour son rendez-vous coquin de la semaine prochaine, afin que je puisse m'y prendre à temps. Elle m'a dit que non et n'a rien ajouté. Je ne sais rien de ce qui va se passer. Cela ne me pose aucun problème, c'est la vie de ma Maîtresse et elle décide d'en parler ou pas et je ne pose aucune question, sauf celle d'ordre purement pratique pour faciliter la vie de ma Maîtresse.
Plus tard elle a décidé de s'épiler les sourcils et ensuite de faire les miens, ce que je déteste. Quand ça a été mon tour elle m'a fait asseoir sur une chaise devant elle, j'ai voulu résister mais je me suis pris une giffle tout de suite. Elle a posé un genou sur ma cuisse pour me maintenir et a commencé a tiré un à un les sourcils qui dépassaient. Quand j'essayais de détourner la tête elle me saisissait le visage fortement avec sa main pour m'obliger à ne pas bouger. Puis comme je bougeais trop elle a déplacé son genou sur mon sexe en appuyant assez pour que je craigne la suite. Quand je lui ai demandé si c'était bientôt fini elle m'a répondu que cela s'arrêterait quand elle l'aurait décidé. Elle s'est mise dérrière moi et m'a basculé la tête en errière pour continuer son oeuvre. C'est vraiment quelque chose que je n'aime pas mais que ma Maîtresse tient à faire car elle n'aime pas voir mes sourcils en bataille.
Ce soir je suis resté devant la télé pendant qu'elle était à l'ordinateur. Quand elle a fini elle est venue vers moi pour s'asseoir sur mon visage. Je n'ai pas eu le temps de bien me placer, elle s'est assise très rapidement et ma position était peu confortable, ses fesses recouvrait mon nez et presque entièrement ma bouche, j'avais du mal à respirer, j'étais obligé de garder ma bouche grande ouverte pour inspirer l'air par le coin. Sa cuisse reposait sur ma gorge. Comme elle fumait une cigarette, elle bougeait beaucoup sur moi pour atteindre le cendrier, ce qui me bloquait alors la respiration. Il faut dire que lorsque ma Maîtresse est assise sur mon visage, elle bouge, pivote sans se soucier de moi, sans se soulever, ce qui me tire le visage, me tord le nez, mais elle a raison, une Maîtresse n'a pas à se soucier du coussin sur lequel elle est assise ! Elle a glissé une main sous ma chemise et m'a planté ses ongles dans la peau en serrant très fort et disant " c'est pour la comédie que tu m'as fait cet après-midi" Elle a continué avec ses ongles, la douleur était forte mais heureusement courte. Elle a glissé sa main sous mon pantalon et m'a empoigné le sexe en serrant dans son poing et faisant des mouvements de va-et vient. Elle maltraitait mon sexe et cela m'excitait terriblement. Cela associe douleur et plaisir par la même action. Mais en se penchant un peu elle m'étarnglait sous sa cuisse m'ampêchant cette fois-ci de respirer. Je n'ai pas eu le choix et je lui ai fait signe de se relever, je ne le fais que dans ces cas là. J'hésité toujours, j'essaye de tenir car le plus souvent quand je la fais se relever elle ne se rasseoit pas ! Donc ce n'est que quand je ne peux vraiment plus respirer que je lui fais signe. En même temps cela procure une certaine excitation, un jeu à développer, le contrôle de la respiration par la Maîtresse provoque des sensations assez extraordinaires! En se redressant elle a levé son pied et a planté son talon d'un coup sec sur mon sexe en ajoutant "tu croyais quand même pas que j'allais te faire jouir ce soir". Moi je dois avouer que j'aurais bien aimé tellement c'était fort. Puis elle a appuyé plusieurs fortt très fortement sur mon sexe et a remonté son talon sur la peau de mon ventre en me griffant.
Elle a arrêté pour dire qu'elle allait se coucher. Elle s'est mise devant le placard à chaussures en m'interpellant " je ne vais quand même pas me déchausser toute seule ". Je me suis précipité à quatre pattes, je préférait adopter une position humble et respectueuse envers ma Maîtresse. Je l'ui ai enlevé sa chaussure, elle a exigé un massage. J'étais prosterné au seul, à ses pieds, à la masser. J'ai fait de même avec l'autre pied. Elle m'a fait stoppé sèchement puis elle a attendu devant l'escalier en disant simplement " la première marche est trop haute". Je me suis de nouveau précipité pour m'allonger au bas de l'escalier, ma Maîtresse est montée lentement sur mon dos, pesant au maximum sur moi et elle a gravi l'escalier. Je ne pouvais détacher mes yeux d'elle, adorant ma déesse qui venait de me montrer qu'on ne résiste pas à une Maîtresse comme elle, sinon on le paye !
Quelle main de fer ! Impitoyable, sévère ! Ma reine ! C'est un tel bonheur de subir sa loi, sa sévérité physique et la frustration qu'elle m'a imposé. Car là en écrivant ceci je sens encore la griffure faite par son talon sur mon ventre et je suis en érection !
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