Ma Maîtresse a découvert la domination par mes demandes. Mais c'est un territoire qu'elle a très vite exploré d'elle-même, s'y sentant de plus en plus à l'aise pour le conquérir. Ma soumission volontaire est devenue au fil des mois une soumission voulue par ma Maîtresse.

Ainsi durant les premiers temps de notre vie D/s j'indiquais à ma Maîtresse mes désirs, mes fantasmes, ce que je voulais qu'elle fasse, comment je voulais qu'elle me domine. Aujourd'hui cela est fini. Ma Maîtresse, il y a deux semaines, a remis sèchement les pendules à l'heure. Elle m'a clairement signifié qu'elle ne voulait plus m'entendre dire ce que je voulais qu'elle me fasse, qu'elle seule en décidait, qu'elle me connaissait bien et que c'était elle qui dominait et non son soumis en exigeant telle ou telle réalisation d'un fantasme. Ainsi la règle était édictée.

Depuis je n'ai plus exprimé mes désirs, obéissant à ma Maîtresse, attendant l'instant ou ma Maîtresse déciderait de faire une chose que j'aime. Par exemple, le facesitting est sans aucun doute ce que je préfère ( enfin à égalité avec le piétinement et l'uro ). Et bien pour ma part j'adorerais qu'elle s'asseoit tous les jours longuement sur mon visage, au moins un bon quart d'heure, minimum ! Mais cela n'est pas ainsi que cela se passe, je ne dis rien, j'attends ma récompense et les jours ou elle a envie de le faire. Enfin je profite quand même presque chaque matin de ses fesses quelques secondes quand elle se lève, mais c'est si court !

Je ne réclame plus, je ne quémande plus le droit d'être à ses pieds, j'attends qu'elle en exprime l'ordre, qui dès fois ne vient pas. Il y a déja quelques temps que ma Maîtresse ne m'a pas donné son divin nectar à déguster, je n'en dis rien.

Et la sodomie, découverte il y a peu et qui a été un moment de pur plaisir, combien j'aimerais en vivre souvent.

Et il y a des fantasmes que je n'ai pas encore vécus et je n'en parle plus, comme de m'écraser un mégot éteint avec son pied sur mon torse après s'être servie de moi comme cendrier. Ou encore manger dans une assiette à ses pieds, recevoir une sévère correction à coups de pieds, être cravaché attaché et baillonné,......

Enfin la règle est stricte, je n'y déroge pas mais cela n'empêche pas mes pensées de tourner, de virevolter. La patience est une des qualités que doit acquérir un soumis pour ne pas déplaire à sa Maîtresse. La seconde est l'abnégation. Finalement le but de la soumission est de satisfaire celle qu'on sert et non le contraire. Après seule la Maîtresse peut décider selon son libre-arbitre de donner du plaisir à son esclave !

J'essaie chaque jour de la servir le mieux possible et je suis fou de joie lorsqu'elle me récompense, comme hier soir, où ma Maîtresse m'a donné une jouissance extraordinaire. La récompense pour un service satisfaisant est le seul espoir pour un esclave mais cela ne doit pas être un but. Le seul but de l'esclave est le plaisir de sa Maîtresse.

C'est ce principe que ma Maîtresse a transformé peu à peu en moi, la servir pour elle et non pour moi, et je pense qu'elle me fera encore progresser ! 

Aujourd'hui la journée avait fort bien commencé. Ma Maîtresse a préparé le petit-déjeuner, m'a réveillé avec énormément de tendresse. Une agréable matinée !

Nous nous sommes préparés tranquilement et en milieu d'après-midi nous sommes partis faire quelques magasins. Et là ma Maîtresse a été très contrariée par mon attitude. Elle a trouvé que je n'avais pas été assez attentif à elle, que je ne l'avais pas assisté comme il faut. Elle s'est mise en colère, me disant des remarques cinglantes. En rentrant à la maison j'ai eu le droit à quelques réflexions. Et comme j'essayais de lui expliquer elle m'a fait taire en concluant par ces paroles " tu vas t'en mordre les doigts ".

Ce soir je me suis excusé pour ma faute de cet après-midi, sincèrement. Ma Maîtresse a accepté mes excuses. Puis nous avons parlé d'un commentaire du blog. Elle me disait qu'elle avait eu peu à me dresser car j'étais déja soumis au départ. Personnellement je trouve qu'elle m'a dressé. Par exemple je m'exécute en ce qui concerne les tâches ménagères bien plus efficacement maintenant, le fait que je ne réclame pas de jouissances même quand j'en ai très envie et que je ne le montre pas et puis pour le foot, je lui disais que ce soir il y avait un match et que je n'en avais rien dit ( et ça c'est vraiment le résultat de son dressage).

Mais le pire finalement est venue après. Ma Maîtresse s'est achetée de nouvelles chaussures et comme elle dialoguait sur msn elle m' a fait venir à ses pieds. Et elle les a posées sans ménagement sur mon visage, ma tête, mon ventre, mon torse, me griffant, appuyant avec le talon, le plus redoutable de ses nouvelles chaussures c'est les coins de ses talons, quand elle les enfonçaient la douleur était très vive et elle en a joué ! Ce soir elle ne m'a pas épargné. Pour soulager mon ventre et mon torse qui me chauffaient je me suis retourné. Elle a posé un pied sur ma nuque et l'autre sur le milieu du dos. Cela m'a excité immédiatement. Je sentais le plaisir monter très vite. Il faut dire que j'ai très envie que ma Maîtresse me fasse jouir en ce moment. J'ai demandé si j'étais autorisé à jouir et ma maîtresse m'a répondu " non ". Cette réponse a été dure à encaisser. Alors pendant tout le temps ou je suis resté là je me suis tortillé pour éviter de jouir en évitant tout contact de mon sexe avec quoi que ce soit. Ma Maîtresse m'a rappelé au bout d'un moment l'interdiction ! Plus tard elle m'a demandé si c'était dur de ne pas jouir. Oh oui c'était très dur, mais j'ai réussi. Je ne voulais pas désobéir à ma Maîtresse et pourtant j'avais vraiment très envie de jouir ! Pendant ce temps ma Maîtresse a pris une photo de mon dos marqué par ses talons et de son pied sur mon dos pour envoyer à Jean-Marc avec qui elle dialoguait.

A un moment j'avais envie d'uriner et comme j'étais bloqué sous les pieds de ma Maîtresse j'ai demandé l'autorisation et ma Maîtresse m'a fait attendre. Puis après quelques minutes elle m'a laissé y aller. Quand je suis revenu à quatre pattes près d'elle ma Maîtresse avait fini , elle s'est levée, je suis resté à genoux, elle est venue près de moi à poser un pied sur mes cuisse, dans une position qui la rendait si supérieure puis elle m'a prévenu qu'elle allait se coucher. Je l'ai déshabillée. Elle en a profité pour m'exciter en me plongeant le visage entre ses seins puis entre ses fesses. J'étais le visage enfoui entre ses fesses et elle remuait sur moi. Et pour finir elle m'a ordonné de lui crémer les pieds.

Ma Maîtresse a éprouvé ma soumission ce soir, elle m'a imposé son choix alors que je désirais le contraire. Je pense que c'était ma punition ! Mais je ne me suis permis aucune réflexion, j'ai obéi. Malgré mon immense désir de jouissance je n'ai pas montré ma frustration. Je ne sais pas quand ma Maîtresse m'autorisera à jouir. Par contre ce soir elle a été redoutable et sans pitié. Elle a été d'une grande sévèrité, je vais devoir élever la qualité de mon service à son égard pour pouvoir être récompensé par une jouissance ! Son niveau d'exigeance s'élève réguliérement ! Je suis sur que la prochaine fois je serais beaucoup plus attentif en faisant les magasins. Effectivement je m'en mords les doigts.

Quand je pense qu'elle disait qu'elle n'avait pas eu à beaucoup me dresser !