Avec l'arrêt du tabac j'ai quelques phases de nervosité excessive, au point d'avoir des réactions énervées face à ma Maîtresse. Samedi midi au cours du déjeuner j'ai répondu à ma Maîtresse et surtout avec grossièreté. Je m'en suis immédiatement voulu de cette faute, de ce manque de respect vis-à-vis de ma Maîtresse. Après le repas alors que je mettais la vaisselle dans le lave-vaisselle ma Maîtresse est venue derrière moi at m'a attrappé les testicules, les serrant dans sa main et elle m'a dit " tu vas le regretter " et elle m'a laché. Bien sur je me suis excusé mais c'était trop tard le mal était fait.

Dans la journée j'ai éssayé de lui demander pardon, elle m'a dit que ces derniers temps j'avais eu quelques écarts, plusieurs fois, que je demandais pardon à chaque fois et pourtant que je recommençais donc cette fois-ci j'allais le payer cher ! Autant dire que ses paroles m'ont fait monter les larmes aux yeux, tant par la crainte de la punition que par la honte que je ressentais d'avoir eu ce comportement.

Le soir je lui ai offert des fleurs, à genoux en m'excusant encore. Elle m'a souri en les prenant et toujours avec le sourire elle m'a dit " bien mais tu vas payer quand même ". J'ai baissé la tête car je savais que je le méritais.

Pendant la soirée nous avons eu des amis à la maison jusqu'à très tard.

Nous nous sommes couchés vers 2h30 du matin. Je me suis endormi tout de suite, mais vers 3h00 ma Maîtresse m'a réveillé en me caressant le sexe, me faisant bander. Elle a pris ma main qu'elle a guidé vers son sexe déja humide. Je l'ai pénétré d'un doigt, très vite je ma suis glissé la tête entre ses cuisses pour la lécher en même temps que deux doigts lui donnaient du plaisir. Elle gémissait, respirait de plus en plus vite. Elle m'a arrêté, elle s'est retournée et m'a présenté ses fesses. C'est avec un immense plaisir que j'ai glissé ma bouche puis ma langue entre ses deux fesses et de nouveau deux doigts l'ont remplie. Ma langue pénétrait de plus en plus son anus, que j'adore lécher, c'est vraiment un délice pour moi son esclave que de pouvoir lui donner du plaisir comme ça. Elle me répétait " oh oui j'aime ça, c'est bon ce que tu me fais". Et elle a joui, fortement. Pendant tout ce temps j'étais très excité, en érection, j'aurais adoré venir en elle. Mais après ma Maîtresse m'a dit " Bonne nuit " J'ai répondu " Bonne nuit Maîtresse". Il m'a fallu quelques minutes pour que mon corps se calme.

Je suis heureux de lui avoir donné du plaisir. Je sais que mon plaisir n'est pas un droit et qu'il dépend de la volonté de ma Maîtresse. Dans le domaine de la sexualité seule ma Maîtresse a des droits. Elle est libre de donner, d'accorder ou pas du plaisir à son esclave. Il n'y a aucune réciprocité due. C'est tout le pouvoir de la Maîtresse qui n'a qu'à se soucier de son plaisir !

Aujourd'hui la journée a été calme, j'ai fait très attention de ne faire aucun écart, ni de mécontenter ma Maîtresse. Dès qu'elle exprimait un désir je la servais, un ordre était donnée, il était immédiatement exécuté. J'ai éssayé de devancer même des désirs ! Je voulais montrer à ma maîtresse que cela n'était qu'un accident.

Ce soir ma Maîtresse a dialogué sur msn. Elle ne m'a pas appelé à ses pieds ! Par contre après elle m'a rejoint sur le canapé, en soulevant sa jupe, découvrant ses fesses et s'asseyant tout doucement. C'était le journal du hard sur canal+. J'ai commené à la caresser. Elle m'a alors pris par le bras, m'a fait venir devant elle et m'a juste dit " tu te rappelles comment tu m'as parlé hier ? et bien tu commences une période de chasteté d'une durée inédite ! Toi pas moi ! " Je redoutais la punition et l'annonce de celle-ci me donnait raison. La période précédente avait été 15 jours donc cela va être plus long donc cela va être dur, très dur ! En plus ma Maîtresse compte à partir de ce soir et non depuis la dernière fois ou elle m'a fait jouir, c'était vendredi. Mais j'ai reconnu aussi que ma punition était méritée car ce que j'ai fait est une faute grave et j'en suis conscient.

Après cette annonce ma Maîtresse a mis en application le principe selon lequel il n'y a que moi qui suis chaste. Elle m'a incité à reprendre mes caresses. Mes mains parcouraient ses cuisses, ses fesses. Elle m'a pris la tête qu'elle a glissé fermement sous sa jupe, contre son string noir, que j'ai embrassé longuement, puis je l'ai écarté pour commencé à la lécher et a glissé un doigt en elle, elle reposait ses pieds sur mon dos puisque j'étais à quatre pattes devant elle. Elle m'a ordonné d'aller chercher les godes. Elle m'a indiqué avec lesquels elle voulait que je lui donne du plaisir, le plus fin puis le plus gros. Je me suis appliqué à suivre le plaisir de ma Maîtresse au fur et à mesure que je le sentais monter, je la léchais en même temps que j'introduisais les godes. Je l'ai amené à l'orgasme. J'aime tellement donner du plaisir à ma Maîtresse qu'après je l'ai remercié de m'avoir permis de lui donner du plaisir. Après j'ai nettoyé les deux godes avec ma langue, pendant que ma Maîtresse regardait quelques images du film X qui passait à la télé, ne jetant pas un regard sur moi.

Elle m'a ensuite fait courber avec son pied, me positionnant à quatre pattes le long du canapé, sans dire un mot pour y reposer son pied. Après quelques minutes elle m'a ordonné d'aller chercher la trousse à ongles afin de lui faire son vernis des pieds. Je me suis appliqué dans cette tâche, qu'avec l'entraînement je réussis assez bien. En plus ce n'était pas le soir à rater le vernis !

Ma Maîtresse est allée se coucher. Je l'ai déshabillé à genoux, admirant ma Maîtresse. 

Je sens dans son attitude très supérieure, très dominatrice, qu'elle tient à marquer le coup, à me faire sentir combien ma faute était grave. Elle a raison, je sais que j'ai gravement fauté. En plus je suis inquiet par rapport à la durée de ma chasteté que ma Maîtresse n'a pas précisée !

Il faut que je me contrôle afin de ne plus offenser ma Maîtresse et la satisfaire à 100% !

Entre hier, et aujourd'hui, j'ai été très pris par le travail, même en soirée, ce soir je suis rentré vers 23h30. Cela nous laisse pau de temps ensemble, heureusement que cela est peu fréquent !

Quand je suis revenu ce soir ma Maîtresse était sur msn, il restait le lave-vaisselle a chargé, ce que j'ai fait tout de suite. Mais je dois dire que dans les périodes où j'ai beaucoup à faire professionnellement, ma Maîtresse fait plein de choses à la maison, ce qui me soulage beaucoup, sinon cela serait dur, d'ailleurs je tiens à remercier ma Maîtresse du soin et de l'attention qu'elle me porte !

C'est le deuxième jour sans tabac ! Dur ! Mais j'ai réussi à mieux me contrôler aujourd'hui et ne pas m'énerver, ni à répondre à ma Maîtresse, pour qui c'est dur aussi ! Même si j'adore être puni durement et physiquement je ne veux pas jouer à provoquer ma Maîtresse, car cela l'énerverait vraiment et en période d'arrêt du tabac ce ne serait pas une bonne chose. Et puis j'apprécie quand elle me dresse vraiment pour une vraie faute, comme hier matin quand j'ai osé lui répondre.

Tout à l'heure elle était assise dans le canapé et je suis venu à genoux à ses pieds, poser ma tëte sur sa cuisse et lui faire un tendre calin. Mine de rien cela fait 7 jours que ma Maîtresse ne m'a pas fait jouir ! Elle n'en dit rien, pas un mot. En plus elle m'a volontairement excité deux fois cette semaine pour me laisser au bord de la jouissance ! Je ne lui pose aucune question, je sais qu'elle ne l'accepterait pas. Elle a décidé que c'est ainsi ! Et puis en tant que Maîtresse elle n'a aucune justification à donner, et moi, en tant qu'esclave, je n'ai aucune réclamation à faire. Une vie de couple paisible sur le sujet du sexe, jamais de disputes !

Au bout d'un moment que j'étais ainsi contre elle, elle s'est levée et m'a fait allonger sur le canapé. Elle s'est assise sur mon visage et a étendu ses jambes sur mon corps. Elle reposait complètement sur moi ! J'ai éssayé de me positionner le mieux possible sous ses fesses, car ma Maîtresse ne veut pas être dérangée, je dois être endurant, c'est une exigeance de sa part. J'ai pu dégager une partie de ma bouche entrouverte pour respirer, mais au bout d'un moment la respiration est devenue difficile, mais je n'ai pas bougé, ni gémi. J'ai tenu pour ne pas gêner ma Maîtresse. Dès fois j'ai envie que ma Maîtresse joue ainsi avec moi en m'étouffant complètement sous ses fesses en m'empêchant de respirer. Elle se relèverait, se rassierait, jouant longtemps comme ça avec moi, tenant ma vie sous ses fesses !

Elle est restée de longues, délicieuses et merveilleuses minutes sur moi. C'est fabuleux d'être sous les fesses de sa déesse, à sa disposition, à sa convenance.

Cela me fait du bien, cela m'apporte tellement de plaisir que j'en oublie l'arrêt du tabac, je ne pense plus qu'a ce que je vis à ce moment-là. Et alors je ne ressens plus l'état de manque, remplis par le plaisir que m'offre ma Maîtresse.

Encore une chouette journée aujourd’hui. Soleil et longue balade en vélo sur les bords de l’eau. Ma Maîtresse avait très envie d’inaugurer son nouveau vélo et comme moi je n’en ai pas elle m’a passé son ancien vélo pour l’accompagner. Nous nous sommes promenés ainsi tout l’après-midi.

Ce soir de retour nous étions bien fatigués tous. Enfin cela ne m’a pas empêché de remplir mes tâches : table, repas, débarrasser, vaisselle. Pour ma Maîtresse à la fin du repas il n’y a plus qu’aller s’adonner à son plaisir : l’ordinateur et MSN. Moi je débarrasse la table et m’occupe de la vaisselle. Ainsi je la vois se lever naturellement et aller vers l’ordinateur, sans même une hésitation ou un regard.

Quand tout est fini je suis venu sur le canapé pour regarder la télé. J’aurais bien aimé passer ce temps comme coussin sous les fesses de ma Maîtresse devant son ordinateur, elle était vêtue d’une petite robe violette courte que j’aime beaucoup. Mais, non rien, et je sais que ma Maîtresse ne veut pas se sentir attendue ou sentir une quelconque pression de ma part, donc j’attends toujours un ordre, un geste ou un mot de sa part !

Après sa conversation ma Maîtresse a exigé un massage des fesses pour la relaxer du vélo. Quel plaisir de masser ses fesses. Elle trouvait ça si bon qu’elle me l’a fait faire longtemps. J’étais très excité en le faisant, très envie de plonger ma langue entre ses fesses. Mais en récompense j’ai eu le droit de poser mon visage sur ses fesses. Quelle place de rêve ! Ma Maîtresse a des fesses si superbes !

Ma Maîtresse m’a interrogé ce soir pour savoir ce que je ressentais lorsqu’elle dialoguait sur MSN. Je ressens de la curiosité, de l’excitation. Mais jamais je ne pose une question, je n’oserai jamais interroger ma Maîtresse sur sa vie de Maîtresse, je n’oserai jamais remettre ainsi en cause ses droits ! En fait qu’elle est sur MSN ce que je pense c’est vais-je avoir la plaisir de servir de tapis ou de coussin ou autre utilité que ma Maîtresse désirera. Ma maîtresse vit sa vie librement, sans compte à rendre et sûrement pas à son esclave, qui lui doit rendre des comptes ! C’est bien ce qui fait la différence et la supériorité de la Maîtresse sur son esclave.

Pour finir la soirée ma Maîtresse m’a utilisé comme cendrier. J’étais allongé par terre à ses pieds, elle avait posé un pied nu sur mon sexe, qu’elle malaxait. Et elle laissait tombé ses cendres dans ma bouche grande ouverte. Je sentais mon plaisir monter mais Maîtresse a arrêté avant de me faire jouir, elle a écrasé sa cigarette dans le cendrier sur la table et a jeté son mégot dans ma bouche, ce qui est logique pour un cendrier ! J’adore servir d’objet à ma Maîtresse, un objet qui oblige à une grande soumission et affirme un pouvoir absolu de ma Maîtresse.

La situation était très excitante et l’action de son pied m’a beaucoup excité. Quelle frustration de ne pas avoir joui !

Elle s’est levée et s’est mise debout au-dessus de mon visage, nue sous sa robe, elle s’est accroupie sur mon visage pour que je dépose un baiser sur son sexe. Elle s’est redressée, merveilleuse et suprême et m’a marché sur le ventre pour passer.

Ma Maîtresse m’a donné beaucoup de plaisir ou me soumettant ainsi ce soir. Et m’a frustré en même temps. Ma Maîtresse est vraiment redoutable, elle est magnifique.