Et bien moi qui faisait une petite série d'illustrations des différentes fonctions utiles d'un esclave, ce soir ma Maîtresse m'a utilisé comme un objet, mais avec amour !

D'abord elle a pris une douche et cette fois-ci je n'ai pas oublié de l'attendre à sa sortie, le peignoir à la main ! Et après je me suis occupé d'elle pour lui faire des petits soins. Ainsi elle s'est rasée un peu les poils du sexe pour bien le dessiner. Afin de calmer l'irritation de la peau je l'ai massée avec une crème pour adoucie le feu du rasoir. C'est délicieux de m'occuper d'elle comme ça, nulle sexualité mais un jeu coquin ! Mes doigts près de son sexe mais des doigts appartenant à son esclave qui ne devait que lui mettre de la crème !

Et puis plus tard elle m'a allongé sur le canapé et s'est assise sur mon corps, sexe et ventre, pour regarder le film. Ses mains se glissant au chaud sous mon gilet et entre mes cuisses, très proche de mon intimité ! Elle est restée longtemps, je faisais corps avec le canapé, j'étais le dessus du canapé.

Et puis elle est allée se coucher une fois le fim terminé.

Et elle m'a remis une limité d'heure car j'ai un peu abusé hier soir ! Ce soir minuit au lit, c'est court !

Petite sélection de différentes situations où l'esclave sert à quelque chose pour sa Maîtresse.

Une table pour sa Maîtresse

Un wc

Un coussin pour s'asseoir

Un paillasson

Voici les quatre premiers exemples d'utilité ! Que des situations vécues, que j'adore vivre !

A suivre ...

J'aime beaucoup quand ma Maîtresse dort en chemise de nuit. Le matin au réveil, celle-ci, est toujours remontée. Alors lorsque je viens contre elle pour un petit calin tendre, je sens sous ma main sa peau douce et chaude. Cette main ne peut s'empêcher d'explorer son corps, monter et descendre, mes lèvres la rejoignent pour y déposer des baisers, mon nez l'effleure et s'ennivre du parfum de sa peau. En général elle ne reste pas insensible !

Ce matin encore, cela s'est passé ainsi. Mais ma main a continué son exploration pour finir au craux de ses cuisses, sur son sexe. Mes doigts ont caressé les lèvres de son sexe, ma Maîtresse a commencé à soupirer doucement, ondulant légèrement pour s'offrir mieux à mes caresses. Je me suis mis à qutre pattes entre ses jambes, ma langue venant lécher son clitoris. J'aime le gout et l'odeur du sexe de ma Maîtresse. En même temps deux doigts ont commencé à la pénétrer. Puis ma langue s'est activée plus fermement, de grands mouvements rapides et forts, mes doigts plus profondément en elle. Elle a guidé mon autre main. J'ai joué une partition à quatre doigts et langue. Sa jouissance l'a secoué, j'ai continué alors que son orgasme se déversait au point qu'elle a fini par me mettre une claque sur la tête pour me faire stopper !

Je me suis allonger à côté d'elle, ayant très envie de faire l'amour, que mon sexe rejoigne le sien. Et lorsque je lui ai dit mon désir elle m'a répondu que je n'avais pas à faire de demande. Mais cela n'en était pas une, juste l'expression de mon désir soumis à la volonté de ma Maîtresse ! Et elle a conclu en me disant que de toute façon elle était toujours mécontente de ma négligence à son égard de vendredi soir.

J'étais excité mais la décision de ma Maîtresse était sans appel. Mon sexe et mes jouissances lui appartiennent, à tel point que cette frustration ne me rend pas malheureux, je n'oublie pas qu'elle est mon statut et je le vis sereinement et avec bonheur. De toute façon je ne suis pas à plaindre, ces derniers temps ma maîtresse m'a fait jouir plusieurs fois.

Après le petit-déjeuner nous sommes allés nous préparer dans la salle de bain. Alors que j'étais nu, ma Maîtresse est venu derrière moi et a commencé à me caresser le dos puis les fesses avec une grande douceur. C'était délicieux, excitant, la sentir comme ça et me faire frémir sous la douceur de ses mains ! Elle m'a dit "penche-toi en avant". Mon excitation s'est accrue, ses mains parcouraient avec art mes fesses, puis mon entrejambe, j'étais en érection. Plein de désir d'être sodomisé, de jouir.

Elle s'est arrêtée en me disant " ceci est un avant-gout de je ne sais pas quand ". Elle sourait divinement !