C'est ce que m'a dit ma Maîtresse ce midi, sans me dire à propos de quoi. Tout le reste de la journée je me suis demandé quelle avait été ma faute. Ne pas savoir avant ce soir était déja le début de la punition.
Ce soir ma Maîtresse m'a dit ses reproches : " mon petit-déjeuner n'était pas prêt et ma serviette n'avait pas été mis à chauffer". Pour la serviette j'ai reconnu ma faute mais pour le petit-déjeuner c'est un malentendu ! Ma Maîtresse m'avait juste dit de seulement faire chauffer l'eau avant de partir. Ensuite elle est allée sur l'ordinateur et s'est connecté sur msn pour discuter avec Seb. Moi j'ai pu m'installer devant le match.
Mais en plein milieu elle s'est levée et m'a attrapé pour me faire coucher aux pieds de sa chaise et sans ménagement elle a planté directement son talon sur ma joue, en appui sur la machoire, et avec l'autre talon elle a relevé mon tee-shirt, en profitant pour me griffer, et me le planter dans le dos. Elle appuyait fortement, faisant des allers-retours sur mon dos. Cela chauffait mon dos et je ressentais l'inconfort de son talon sur mon visage. Elle a déplacé ses pieds avec une certaine rudesse pour en mettre un sous mon visage, mon nez et ma bouche reposant dessus et l'autre sur ma nuque, ma plaquant le visage sur sa bottine.
Puis elle s'est mise debout sur mon dos, ses deux pieds sur moi et elle m'a piétiné sur place, faisant pression avec ses talons sur tout mon dos en marquant au sens propre comme figuré son pouvoir. Elle tenait à montrer son mécontentement et je l'ai senti passer. Tout en me martelant le dos elle me demandait si je les sentais bien ses talons et qu'il ne fallait plus que j'oublie sa serviette ni son thé même si elle disait le contraire. Elle a continué encore un peu et est descendue. J'aurais aimé qu'elle continue encore son piétinement et de pouvoir jouir mais justement la vraie punition est de me faire vivre des choses aussi merveilleuse sans me faire jouir !
Elle m'a ensuite fait mettre à quatre pattes devant sa chaise et m' a ordonné de faire briller ses bottines. Elles en avaient besoin. Je me suis appliqué à lècher de toute la longueur de ma langue chaque centimètre de cuir et j'ai aussi lécher ses semelles. Les bottines de ma Maîtresse étaient intégralement propre et brillait, j'étais content de mon travail et elle aussi.
Elle m'a plaqué la tête au sol avec son pied. J'étais prosterné à ses pieds, le visage au sol et les fesses en l'air. Elle s'est servie de mon dos comme repos-pieds, n'hésitant pas à être en appui sur ses talons et à me griffer encore. A un moment elle m'a enjambé et s'est accroupie au-dessus de ma tête. C'était excitant de savoir ses feses à quelques centimètres de moi. Elle m'a caressé les fesses, le ventre et le dos. Puis elle s'est rassise et j'ai de nouveau servi de repose-pieds.
Pendant tout ce temps Maîtresse continuait de dialoguer avec Seb !
Elle m'a renvoyé à ma place en me disant qu'à l'avenir je n'oublie plus sa serviette et son petit-déjeuner. Mais avant elle m'a donné l'ordre de lui embrasser les fesses qu'elle a tendues vers moi. J'adore quand elle me fait adorer son corps ! Sutout s cette partie-là.
J'ai aimé ce recadrage de ma Maîtresse, me rappelant que je suis son esclave et que je dois la servir parfaitement selon ses désirs sous peine de punitions. Certes ce type de punition me donne du plaisir, mais surtout cérébral car physiquement il y a quand même une douleur, mais qui me donne aussi du plaisir c'est vrai ! Par contre la punition réelle est qu'à aucun moment je n'ai eu la possibilité de jouir, et ça ma Maîtresse le sait bien. Et je dois avouer que je me relâche facilement quand ma Maîtresse ne montre pas son pouvoir et de la sévérité.
Après sa conversation sur msn, Seb l'a appelé sur son portable et ils ont discuté tous les deux. Moi pendant ce temps j'étais à quatre pattes, le visage entre les cuisses de ma maîtresse, le nez contre l'entrejambe de son jean. Une jambe reposait sur mon dos, son talon me griffant de temps en temps. D'ailleurs comme fantasme j'aimerais beaucoup que ma Maîtresse soit assise sur mon visage pendant une conversation téléphonique ! et aussi pendant msn !
Puis elle est allée se coucher, j'ai plié ses affaires et nous nous sommes embrassés. J'avais demander une autorisation de dépasser l'horaire limite car je ne travaille pas demain. Mais elle a refusé !
Je suis heureux, c'était délicieux ce soir, je me suis senti totalement soumis par ma Maîtresse, sous son pouvoir !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Commentaires