Mardi 11 avril
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Encore une belle journée !
Déja ce midi, j'ai passé quelques minutes à quatre pattes contre ma maîtresse assise à table, ma tête sur sa cuisse. Elle m'a caressé et parlé comme si j'étais un vrai chien. Me caressant la nuque et le dos en me flattant du plat de la main. Puis elle m'a plaqué le nez et la bouche contre l'entrejambe de son jean, me caressant la tête. Je me suis ennivré de son doux parfum intime, je suis si bien là à la respirer.
Mais ce soir ma Maîtresse m'a montré ce que dominer veut dire ! D'abord le contexte : j'ai eu une longue journée avec une réunion de 3 heures très importante qui m'a fait rentrer à 20h30. 2ème élement, j'ai 15 jours au moins de retard dans le repassage.
Après avoir mangé, ma Maîtresse s'est mise à l'ordinateur pour dialoguer avec les différents jeunes hommes qui ont répondu à son annonce. Parmi eux peut-être y aura-t-il un bel et jeune étalon qui comblera ma Maîtresse ! En tout cas, elle examine les candidatures ! Pendant ce temps j'ai débarassé la table et fait la vaisselle, lavant ce qui n'allait pas dans le lave-vaiselle à la main. Je suis revenu et je me suis assis dans le canapé pour regarder la télé. Ma Maîtresse dialoguait avec plusieurs contacts. Je la regardais si belle, souriant parfois devant l'écran. En même temps je m'imagine des situations excitantes, mais bon j'en parlerais une autre fois.
Vers 23h00 elle s'est levée et est partie de la pièce. Elle est revenue avec la cravache à la main. Elle m'a déboutonné ma chemise et elle a commencé à me la passer sur le corps en frottant. Elle m'a demandé si ça chauffait, j'ai répondu oui et elle a alors frotté plus fort , puis elle m'a glissé la cravache en travers de la bouche en appuyant et elle m'a déboutonné mon pantalon et elle m'a caressé fortement le sexe et j'ai reçu un petit coup de cravache sur le flanc. "Maintenant tu vas repasser" m'a-t-elle dit en repartant s'asseoir. J'ai répondu que j'en n'avais pas envie ce soir. Elle est revenue vers moi, m'a fait basculer sur le canapé et m' a baissé mon pantalon pour me donner 5 coups de cravache sur les fesses. Elle frappé franchement, ça me chauffait. "La prochaine fois je frappe là" disait-elle en désignant mon sexe du bout de sa cravache. J'ai préféré obéir immédiatement car je pense qu'elle l'aurait fait, ma Maîtresse n'accepte pas une contradiction d'un de ses ordres donc je pense qu'elle ferait tout ce qu'il faut pour se faire obéir en cas de refus persistant.
Je me suis levé et me suis dirigé vers le placard ou est rangé tout le matériel. Au passage je me suis repris un coup de cravache sur les fesses ! Une fois que j'avais tout installé et que je m'apprétait à repasser le premier vêtement, ma Maîtresse s'est approchée de moi, elle m'a oté ma chemise, a baissé mon pantalon et mon boxer, me les laissant sur les chevilles. Elle m'a dit que je devais faire le repassage comme ça ! Puis elle a pris un rouleau de scotch et m'a entouré en deux tours complets et en serrant bien, le sexe et les fesses. Cela tirait les poils et la peau. Elle a commencé à me caresser le sexe et les fesses tout en me disant de me concentrer sur le repassage. Puis elle m'a juste dit " Bon je retourne discuter "
Quand la pile que j'avais amené a été finie, sachant qu'il restait encore beaucoup de linge à faire, j'ai demandé à ma maîtresse si cela était suffisant pour ce soir. Elle est venue vérifier et a estimé que cela allait. Alors elle m'a oté le scotch en tirant des coups secs, je pense qu'elle a aimé ça, cette situation l'a amusée ! Elle a décollé mon sexe en dernier en tirant d'un seul coup le scotch ; la sensation était désagréable mais pas franchement douloureuse. Par contre ce sentiment d'avoir été maté par ma redoutable Maîtresse m'a mis dans un état de joie intense. Elle s'est abaissé vers mon sexe et a commencé à me prendre dans sa bouche, délicieuse situation et sensation. Mais elle s'est vite arrêtée en me disant qu'elle finirait ça quand tout le linge serait repassé. J'ai ensuite eu le droit de me rhabiller.
Je me suis assis dans le canapé et je la regardais, impériale, majestueuse, suprême. J'ai craqué et je suis venu à quatre pattes contre elle, ma tête contre sa cuisse. Mais pas un geste de sa part, juste une phrase " tu me gênes", je suis reparti sur le canapé. Tout le reste du temps je ne pouvais détacher mes yeux d'elle, entre autres de ses pieds chaussés de ses bottines aux talons redoutables.
Alors que je ne pensais pas qu'elle m'accorderait ce privilège ce soir, elle m'a fait signe de venir à ses pieds. Je me suis allongé sur le dos, ma chemise défaite. Elle a posé un pied sur moi, enfonçant son talon dans ma peau, le déplaçant sans arrête, griffant, imprimant sa marque, pressant sans ménagement sur mon corps. Je sentais son talon s'enfoncer avec une délicieuse douleur qui m'excitait terriblement. Puis j'ai eu le droit de me retourner. Elle a reposé avec force son talon sur mon dos, le parcourant de tout son long. Cela brulait par moment, les griffures étaient intenses, elle me poinçonnait régulièrement ma peau. Elle m'a autorisé à jouir, la jouissance fut forte et merveilleuse. Quand elle a vu que je jouissais elle a enfoncé son deuxième talon dans ma nuque et mon cou. Puis elle s'est levée et plaquant son pied sur mes reins, me surplombant de toute sa hauteur de déesse, victorieuse une fois de plus elle m'a dit qu'elle allait se coucher ! Elle m'a enjambé, posant ses talons à ras de mes testicules puis est sortie de la salle.
Je suis allé dans la chambre pour plier ses affaires à genoux et lui dire bonsoir. Elle m'a regardé avec des yeux brillants juste pour me dire " tu es ce que j'aime le plus au monde".
Cela fut le plus beau cadeau de ma soirée. Une soirée merveilleuse ou ma Maîtresse à fait preuve d'une grande autorité et d'une sévérité efficace, elle m'a soumis à son pouvoir selon sa volonté. Peu importe quel était mon désir, elle a imposé le sien ! Ce qui fait d'elle une déesse elle me l'a montré une fois de plus en me faisant venir à ses pieds et en me faisant jouir!
Elle est divine, je suis un esclave heureux !
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