Hier après-midi, j'ai profondément déçu ma Maîtresse sexuellement ! Pourtant tout avait bien commencé. Des caresses excitantes au lit, ma langue, me doigts lui donnant du plaisir de tous les côtés ! Mais pour moi une panne !

Ma Maîtresse a joui quand même. Mais elle avait envie de plus, elle a commencé à me caresser et à fait renaître le désir, une belle érection. Et elle m'a posé une question et j'ai répondu à côté de la plaque, négligeant son désir. Elle était très mécontente. Depuis longtemps elle souhaite quelque chose et je ne lui ai pas donné. Alors elle a tout arrêté, très mécontente. Par la suite elle m'a fait des réflexions dures, quand elle a pris sa douche elle m'a ordonné de laver ses sous-vêtements à la main, elle m'a dit que je n'étais pas à la hauteur de ses attentes . Mais surtout il y a eu trois réflexions qui me font réfléchir :

" Voila, tu commences quelques jours de chasteté, quelques jours étant imprécis bien sur !"

" La prochaine fois que tu jouiras cela sera de la façon que je désire sinon rien ! "

" Tu mériterais une vraie punition ". Cette réflexion n'est pas sans m'inquiéter. Pour ma part les punitions infligées jusqu'à maintenant ne me semblaient pas fausses. La cravache je l'avais senti passée, les talons aussi, l'excitation non satisfaite a été dure. Alors qu'entend-t-elle par "vraie" ? Je m'interroge parce qu'elle était réellement en colère hier ! Comme pour moi elle est réellement ma Maîtresse règnant totalement sur ma vie, quoiqu'elle m'impose je me soumettrais corps et âme, que veut-elle dire ?

1h30 cette nuit, je dors. Lorsque je suis réveillé par ma Maîtresse, elle me prend la main, la guide vers son sexe qui est déjà humide. Je la caresse doucement, mes sens sont déjà en éveil. Elle se tourne sur le ventre, un doigt s’insinue doucement dans son sexe. Comme attirée par un aimant magique, ma langue se dirige vers son anus. J’introduis un deuxième doigt, je lèche plus profondément, j’adore ça. Elle gémit, ondule, m’encourage, me guide. Puis elle m’ordonne  de lui lécher maintenant le clitoris en même temps que mes doigts la pénètrent de plus en plus fortement. «  Donne du plaisir à ta Maîtresse, esclave ! ». Je m’applique encore plus, mené par son désir, par mon plaisir de la faire jouir. La position est difficile je suis courbé pour que ma langue la satisfasse. Elle jouit ! Je suis en érection ! J’ai envie qu’elle me chevauche sauvagement.

Mais elle me dit en tapotant mon sexe gonflé de désir « c’est bien esclave, ta Maîtresse est très contente. Maintenant rendors-toi »

Elle se retourne, au bout de 3 minutes elle dort déjà. Moi j’ai du mal. Je sens encore le goût de ses intimités sur ma langue, je sens encore l’odeur de son plaisir sur mes doigts.

Ce matin au réveil elle me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis que j’ai eu du mal à me rendormir. « Tu vas pas te plaindre tout de même »

Je lui précise qu’il n’y a aucune plainte de ma part je répond juste à sa question.

Pour moi ma Maîtresse a usé de son droit naturel d’utiliser son esclave comme bon lui semblait. Elle n’a tenu compte que de son seul désir, ce qui est normal. Je suis à son service total, 24h/24h ! C’est sa suprématie qui s’est exprimée. Je suis heureux de l’avoir contentée !

Merci Maîtresse de m’avoir permis de te donner du plaisir et d’avoir pour récolter les saveurs de ton plaisir. Rien n’est plus merveilleux que d’être en permanence soumis à ma sublime, libre, suprême, exigeante déesse.

Au retour d'une sortie un soir au restaurant Maîtresse m'ordonne de me mettre nu et à genoux au milieu de la salle à manger. Pendant que je me déshabille Maîtresse est allée chercher diverses choses dans la chambre.

Quand elle revient je suis nu, à genoux, elle approche de moi, me regarde dans les yeux et me donne une paire de gifles qui me sonne un peu. Son regard est dur.

" Je n'ai pas apprécié ton amabilité exagérée avec la serveuse "

" mais je n'ai rien fait "

"Je t'ai observé à un moment tu la regardais et je n'apprécie pas du tout que tu regardes une autre femme que moi " Elle prit alors la ceinture de mon pantalon et commença à tourner autour de moi. Un premier coup s'abbattit sur mes fesses, puis un deuxième sur mon dos et ainsi de suite jusqu'à 10 !

Mon dos et mes fesses me chauffait toutefois j'ai remercié ma Maîtresse pour mon éducation à la satisfaire. Quand elle se remit devant moi elle vit que je bandais.

" Je ne t'ai pas autorisé à avoir du plaisir !" et elle ponctua ses mots par un coup de pied dans les testicules qui me fit tomber au sol. Elle plaqua alors sa semelle sur mon visage, appuyant avec son talon sur ma joue et monta avec son autre pied sur le haut de mon dos. Et dans cette position elle me dit

"Voici ta punition pour m'avoir grandement mécontenter. 15 jours de chasteté absolue " Sur ses mots elle descendit de mon dos et me fit me retourner en me donnant un coup de pied dans les côtes. Puis elle sortit d'une boîte une cage de chasteté, très petite qu'elle plaça sur mon sexe et cadenassa. Mon sexe était très à l'étroit et aucune érection n'était possible ! Elle mit la clé autour du cou.

" Par contre moi il n'est pas question que je me prive " Elle s'accroupit alors sur mon visage, relevant sa jupe et écartant son string. " Lèche moi !" Ma langue caressa immédiatement les lèvres de son sexe, elle se plaqua alors un peu plus sur mon visage, mon nez s'enfonçait entre ses fesses en même temps que ma langue entre ses lèvres. Elle gémissait de plus en plus lorsqu'un orgasme la secoua et se déversa sur mon palais. Pendant tout ce temps mon sexe était comprimé dans la cage, je ressentais la douleur de l'érection impossible.

Elle reposa alors complètement sur mon visage ce qui m'empêchait de respirer, relevant à peine ses fesses pour me laisser respirer. Puis elle se releva, m'attrappa par les cheveux et me mit à genoux.

" Tu vas voir pendant ses 15 jours tu vas beaucoup réfléchir ! Moi je vais beaucoup jouir ! "

Ainsi dans les 15 jours elle me sodomisa deux fois me rendant fou d'excitation et de frustration. Tous les soirs elle exigea que je la lèche des deux côtés pendant un bon quart d'heure. Elle se servit d'un gode baillon sur mon visage plusieurs fois pour jouir. Je lui ai servi de wc plusieurs fois aussi bien le matin, que le soir, pour boire son divin champagne. Elle s'est servi de mon visage comme coussin et de mon corps comme paillasson ou comme tapis, ma langue a servi à nettoyer ses bottes. Elle multiplia les situations qui m'excitaient. Elle me cravache une fois pour une faute dans les tâches ménagères.

Mais au 10 ème jour elle me dit " ce soir j'ai une surprise " Elle prit une corde elle m'attacha les mains dans le dos. Au bout d'un moment elle ajouta" ce soir un homme va venir et va me faire l'amour "

Effectivement un homme vint ce soir-là, il devait avoir environ 25 ans, beau, bien foutu et surtout très viril sexuellement. Ma Maîtresse le caressa, prit son sexe dans la sa bouche, il la caressa et la lècha. Ils étaient sur le canapé. Moi j'étais allongé par terre tout près d'eux. Et puis ma Maîtresse est venue se mettre à quatre pattes au-dessus de moi demandant à son amant de venir en elle comme ça. Son sexe était au-dessus de mon visage. Je vis le sexe de cet homme entré en elle, aller et venir. Puis j'ai reçu l'ordre de lécher le clitoris de ma Maîtresse en même temps. Il était très endurant, cela dura longtemps mais ils ont joui tous les deux dans un seul cri de plaisir. Il s'est retiré et ma Maîtresse s'est assise sur mon visage, son sexe sur ma bouche " Lèche, esclave ! Nettoie-moi bien " Ce que j'ai fait. Et j'ai aimé cette soirée.

Au bout de 15 jours ma Maîtresse m'a libéré de ma cage. " Souviens-toi de cette punition, cela vaudrait mieux pour toi !"

Bien sur une fois libéré, j'avais très envie que ma Maîtresse me permette de jouir, qu'elle me donne du plaisir. Ce n'est qu'au moment de dormir, alors que nous nous mettions au lit que ma Maîtresse se mit à califourchon sur moi, prit mon sexe dans sa bouche, doucement juste le temps de le faire durcir puis elle s'empala sur mon sexe et nous avons joui tous les deux. Bien entendu elle est de nouveau venue sur ma bouche pour apprécier les services de ma langue !