Lundi 07h00

" Debout esclave !

- oui Maîtresse "

Préparer le petit-déjeuner. Plateau. Chambre. Maîtresse attend !

Je m'agenouille près du lit et pose délicatement le plateau. Maîtresse boit son thé. Je suis à ses pieds. Puis c'est l'heure de la douche. Je me précipite vite dans la baignoire, mon petit déjeuner va m'être servi, directement à la source de ma déesse. Je m'allonge, elle m'enjambe. J'aime la regarder d'en dessous, elle est si belle, son sexe se rapproche de ma bouche, elle s'accroupit, puis son nectar coule, je bois avec délice. Quand elle a fini elle prend le pommeau de douche, allume l'eau, juste le temps pour moi de me retourner et de me recroqueviller à quatre pattes afin d'offrir un siège confortable à ma Maîtresse. Elle repose sur moi, se lave, se savonne, se rince. De fait ma douche est prise en même temps. Elle sort. Je me sèche rapidement et lorsqu'elle arrive dans la chambre, je suis nu à genoux, ses vêtement sur mes bras tendu vers elle. Elle s'habille, sublime, comme d'habitude ! Puis elle va se maquiller devant la glace de la salle de bain. Je m'allonge au sol, elle monte sur moi, je sens ses talons s'enfoncer dans on dos, c'est bon. Je suis son tapis. Elle ne fait pas attention ou elle pose les pieds. C'est normal, fait-on attention à un tapis ! En bougeant, régulièrement une semelle se pose sur mon visage. Puis elle part au travail. Je me prépare moi aussi et j'y vais.

Nous travaillons dans la même société. Nul ne soupçonne notre vie, cela n'appartiens qu'à nous, ce bonheur parfait.

12h30

Nous rentrons manger, je prépare le repas. A la fin du repas Maîtresse claque des doigts, je viens m'agenouiller à ses pieds. Elle sourit, heureuse

" Je t'aime, tu sais, ma vie est merveilleuse. J'aime comme tu t'occupes de moi, c'est si bon

- moi aussi, Maîtresse, je t'aime et c'est si délicieux de te servir "

Elle écarte sa chaise, prend ma tête et vient plaquer mon nez contre son entrejambe. Elle est en jean, je respire ce délicieux parfum intime ! Elle me laisse la pendant 10 bonnes minutes, le temps de prendre son dessert et de fumer une cigarette. Je suis en érection, cela fait une semaine que ma Maîtresse ne m'a pas autorisé à jouir. De son côté elle en a profité, j'ai du lui donner du plaisir plusieurs fois dans la semaine !

Elle me prend par les cheveux, me tire la tête en arrière

" Tu n'as pas eu ton dessert, tiens "

Elle pose un morceau de fruit au sol, elle plante son talon dedans et me le tend.

" Merci, Maîtresse "

Je gobe ce morceau et je nettoie son talon. Puis je débarasse et nous retournons travailler.

18h00

Je suis rentré avant ma Maîtresse à la maison. J'entends ses pas, elle ouvre la porte. Je suis allongé par terre, elle avait envie de son paillasson dévoué. Elle monte sans hésitation sur mon dos, frotte ses semelles, elle me traverse comme ça tout le corps. Elle fait durer le plaisir. Elle sait combien j'aime ça.

Ma Maîtresse est en forme, je sens que la soirée va âtre un paradisiaque enfer !

Ce matin Maîtresse était très excitée. Elle est très excitée et pleine de désirs en ce moment.

Elle me dit alors qu'elle a envie de plaisir, je glisse ma main sous les draps et je constate qu'elle déja humide. Alors je l'ai caressé doucement en surface, sentant son sexe mouillé de plus en plus puis j'ai léché tous mes doigts et j'ai plongé en elle. Deux doigts dans son sexe, mon pouce sur son clitoris, l'annulaire pénétrant de quelques millimètres son anus. Et j'ai suivi son souffle qui s'accélérait, ses mots qui me guidaient. Elle a joui !

Moi je bandais. Elle m'a dit " c'est bien esclave je suis contente de toi. Pour toi cela sera peut-être ce soir "

Dans l'après midi elle m'a plusieurs fois caressé, excité, déclenchant une érection.

Le soir est arrivé. Mais ma Maîtresse était fatiguée et elle est allée se coucher tôt !

Peut-être demain !

Aujourd'hui Maîtresse avaitun rendez-vous chez le coiffeur. Donc ce matin elle m'a réveillé car elle avait envie de son petit-déjeuner. Je me suis vite levé pour lui préparer et lui amener au lit. Puis elle s'est préparée et est parti à son rendez-vous.

Pendant ce temps je me suis occupé du ménage. Faire le lit, ranger la vaisselle, m'occuper du linge, passer l'aspirateur, passer la serpillière. Enfin rien que du normal. Ainsi ma Maîtresse trouve une maison propre en rentrant .

Puis elle a appelé pour que je la rejoigne et qu'on se balade en centre ville. Nous avons fait de petits achats. Bien entendu j'ai porté les sacs. Il est inamiginable qu'elle s'encombre avec les paquets, ainsi elle peut aller de rayons en rayons sans être génée par les paquets. Puis elle s'et offert une viennoiserie et quand elle a fini elle m'a remis l'emballage, ce qui est normal puisqu'à son service. Je dois avouer que cela me generait beaucoup que ma Maîtresse porte les sacs ou soit obligé de garder un papier à la main en attendant de trouver une poubelle. Je suis là, elle m'utilise pour son confort en toute circonstance !

Puis nous sommes rentrés. Comme elle est fatigué elle est partie faire une sieste. Elle m'a ordonné avant de s'endormir de nettoyer et cirer ses deux paires de bottines. Cela est fait. En ce moment elle se repose. Je la réveillerais tout à l'heure lorsque le repas sera prêt et la table mise.

Je suis tellement heureux à la servir, j'aime son regard satisfait lorsqu'elle apprécie ce que j'ai fait.