L'autre matin ma maîtresse et moi discutions de ma soumission et à un moment elle me demande " mais ça ne te blesserait pas si j'avais un amant ?", je lui réponds "non, la seule chose qui me blesserait serait que tu m'abandonnes, que je ne sois plus ton esclave". Je lui rappelle qu'elle a réellement tous les droits et toutes les libertés!
Ma maîtresse à la liberté de jouir de tous les plaisirs qu'elle souhaite, aventure d'un soir, aventure plus longue, comme elle veut les seules limites sont les siennes. Moi je suis son esclave, heureux de la servir!

19 octobre 2005

Je suis attaché nu sur la table du salon. Mon corps est offert, je suis sans défense. Les yeux bandés, baillonné ( son string dans ma bouche, ma langue en cotact avec le fond ou c'est imprégné son intimité, un baillon noué par dessus la bouche). Dans cette position je ne sais pas ce qui va m'arriver, j'espère que ça durera très longtemps. Ma maîtresse peut me cravacher à sa guise, me sodomiser, se servir de mon dos comme table bien stable, me planter ses talons où elle veut dans mon corps, se servir de moi comme elle l'entend, parfois ne faisant rien de moi, occupée à autre chose,mais pouvant y revenir quand elle veut comme elle veut, tout le temps qu'elle souhaite!

18 octobre 2005

Hier soir quand ma maîtresse est rentrée de la danse je lui ai servi son assiette à genoux, elle était assise sur le canapé devant le film. Elle m'a fait mettre à quatre pattes, le dos bien droit pour lui servir de table. Elle a posé son assiette sur mon dos et a mangé comme ça sans se préoccuper de sa table. Pour avoir le dos droit j'ai du avancer les bras et la position était inconfortable mais j'ai résisté pour ne pas déranger ma maîtresse pendant son repas. Comme le plat que j'avais préparé lui a plu elle a désiré une deuxième assiette que je suis allé réchauffer . Au retour de nouveau transfoemé en table mais quand elle a posé l'assiette elle était très chaude et c'était limite mais je n'ai rien dit. Maîtresse me fait un honneur et un plaisir en m'utilisant donc je dois être à la hauteur! Malgré cela elle a du s'en douter car elle m'a demandé si c'était chaud je lui ai donc dit que oui. Elle a répondu " c'est bien il faut que tu sois endurant" et elle a laissé l'assiette et a continué à manger, à chaque fois qu'elle piquait sa fourchette cela appuyait l'assiette chaude sur mon dos! Puis elle a désiré un yaourt et là elle a innové. Elle m'a fait asseoir par terre, buste penché en arrière, appuyé sur les bras, la tête basculé à angle droit et la bouche grande ouverte dans laquelle elle a encastré son yaourt pour le manger. Très vite la position est devenue inconfortable, un bras tremblait, mais j'ai tenu bon sans bouger, elle l'a vu et a continué à manger tranquillement son yaourt. C'est à moi de fournir les efforts nécessaires et non le contraire. Après cela j'ai été transformé en tapis au pied du canapé, elle a relevé mon tee-shirt pour mieux y imprimer ses talons. J'étais à plat ventre et elle enfonçait ses talons dans mon dos, un pur plaisir. De temps en temps elle déplaçait ses pieds, l'un deux venant parfois en appui sur mon visage, le talon sur l'os de la machoire, là j'avais très mal et je n'ai pu me retenir de gémir. "Il va falloir que tu deviennes plus endurant" a-t-elle conclu avant de me permettre de venir à ses côtés ou j'ai pu me serrer tendrement contre elle. Je lui ai dit combien j'avais envie de lui faire l'amour et aussi de sa bouche ce à quoi elle a répondu que ça se méritait et qu'elle saurait me motivé!
Puis je l'ai aidé à se déshabiller, à genoux, pour se coucher, elle était très fatigué, servant de marche-pieds pour aller au lit. Bisous pour la nuit. Que je l'aime!
Après il ne me restait plus qu'à débarasser la table, mettre la vaisselle à laver, préparer le petit-déjeuner et sortir le chien avant d'aller me coucher.
Une soirée de rêve, à ma place, au service de ma maîtresse que j'adore!

18 octobre 2005