J'aime prononcer ce mot merveilleux. Il nous place tout de suite dans la position que chacun occupe. Moi en tant qu'esclave de ma maîtresse soumis à  tous ses désirs, elle ayant tout pouvoir sur son esclave!
J'aime ce mot, le dire me procure du plaisir, des sensations délicieuses, mot qui répond naturellement à ce que je ressens lorsque je suis devant ma déesse. Hommage à sa beauté, à la femme merveilleuse qu'elle est, rappel à cette déesse des droits et libertés qu'elle possède en permanence.
J'aime ce mot qui me met à ma place, cette place que j'aime tant, cette place qui me donne tant de bonheur et de plaisr, cette place ou je me sens naturellement bien, cette place qui me rapelle la chance inouï que j'ai chaque jour : son esclave!

10 octobre 2005

Samedi soir a été exceptionnelle. Au moment de se déshabiller ma maîtresse me fait mettre à genoux devant elle, elle me fait poser mes mains sur mes cuisses et pose ses pieds dessus. Elle porte ses nouvelles bottines, superbes en cuir, aux talons redoutables ( assez larges mais aux bords acérés). Elle s'appuie avec les pieds pour enlever son jean. Les talons écrasent mes doigts. La douleur est forte mais je ne crie, ne gémit pas, ne retire pas mes mains; je sais qu'elle ne veut rien entendre, mais des fois c'est dur. Il y a deux endroits entre autres ou les talons font très mal : le dos de la main et le dessus des doigts et le crane. En même temps cette douleur me procure du plaisir, être endurant pour ma maîtresse!
Elle a gardé ses sous-vêtements et ses bottines, elle tourne ses fesses vers mon visage, superbes feses. Je n'ai qu'une envie, plonger mon visage, ma langue. Lui donner du plaisir! J'aime la lècher de ce côté là, elle s'installe mieux sur le lit, me présente ses fesses, son sexe, je lèche puis plonge mes doigts dans son sexe et caresse son clitoris en même temps. Je la sens prendre beaucoup de plaisir, quel plaisir pour moi. Elle jouis. Je suis heureux, je lui ai donné du plaisir. C'est une exigence minimum, il n'est pas concevable pour moi, son esclave, de ne pas satisfaire ma maîtresse. Elle s'allonge, récupère.
Je m'allonge à côté d'elle, sur le ventre. Je suis très excité depuis hier je ne sais pas si elle me fera jouir. L'après-midi elle m'a donné une douche s'attardant sur mes fesses, entre mes fesses, m'excitant terriblement.
Elle commence à me caresser les fesses, mon excitation est de plus en plus forte, elle joue avec mon désir, puis un doigt viens entre mes fesses et s'introduit en moi c'est délicieux, je me cambre, soulève les fesses. De son autre main elle prend mon sexe, le caresse en même temps que son doigt penètre plus profondément, elle le remue en moi, ce qui me procure des sensations intenses de plaisir. C'est terrible car je ne sais pas si elle me conduira jusqu'à la jouissance, c'est tellement bon. Finalement elle me fait jouir, c'est intense, je jouis de partout, je prends un pied incroyable, je suis au paradis.
Elle se rallonge à côté de moi, je suis bien, heureux, vidé par un plaisir complet, fabuleux. Elle est merveilleuse.
J'ai hâte de connaître encore plus ce plaisir anal qu'elle me fait découvrir. J'espère qu'un jour elle me fera ce cadeau!
Dimanche. Elle est toujours aussi belle : bottines en cuir, jean, top qui la met en valeur, maquillage et coiffure qui l'illumine encore plus. Le soir, je m'occupe d'elle, soins de son corps. Elle est allongé sur le canapé, je suis assis par terre, j'aime être ainsi, plus bas qu'elle. Moments tendres, complices, amoureux, patits bisous, caresses. Un moment ma tête coincé entre ses cuisses tout contre son sexe à travers son jean, vue sur ses fesses. Je m'imprègne de tout, de son parfum intime que j'aime tant respirer, de son contact, de la vue superbe.
Puis elle va à l'ordinateur, elle veut me montrer des vidéos qu'un homme qu'elle a désiré a fait pour elle, images d'un strip teese prude mais plein de désir. Je suis à genoux, elle enfonce son talon dans ma cuisse, me plante ses ongles dans la peau, me passe la main dans les cheveux. Je suis son esclave, si c'était un test elle a pu voir que je ne mentais pas que le lui ai dit qu'elle avait tous les droits sans exception et toutes les libertés. Je suis bien aux pieds de ma maîtresse. Un moment je me suis dit que si elle ressentait toujours de l'excitation en voyant ces images elle pourrait se servir de ma langue pour la satisfaire, lui donner encore du plaisir. J'assume complètement cette dimension de ma soumission. Je suis là pour la satisfaire en toute circonstance, elle n'a aucune limite sauf celles qu'elle se fixe elle-même. Avoir vu ces images ne me posent aucun problème. Cela lui appartient et fait partie de ses droits absolus.
Fin des vidéos. Puis après j'ai eu envie d'une cigarette mais alors que ma main se tendait vers le paquet elle m'ordonne de débarasser la table, je réponds "oui maitresse". Quand je reviens je lui demande la permission d'aller sur internet qu'elle m'accorde. Je lui ai dit qu'elle était une maîtresse impitoyable et intransigeante et que que j'aimais ça. Elle sourit et me dit que ce n'est encore rien. Je suis aux anges, que de supplices à venir!
Et d'ailleurs c'est venu très vite. Quand on est allé se coucher! Il y a une chose que j'aime énormément, c'est de servir de coussin quand elle se déshabille. Elle fait ce qu'elle à faire assise sur moi, elle bouge sans se soucier de moi. J'adore lui servir d'objet et qu'elle fasse autre chose pendant ce temps sans se soucier de moi!
Donc je lui ai fait part de mon désir. Elle m'a regardé avec des yeux dominateurs me faisant comprendre que je n'avais pas à demander. Malgrè tout elle m'a fait mettre en position. Elle a mis ses fesses au-dessus de mon visage, a baissé son jean et s'est assise ... à coté de moi, me regardant d'un air satisfait. J'étais très frustré mais je payais ma faute. Puis elle m'a planté son talon dans le torse pour enlever sa bottine. Son sexe, ses fesses, son string juste au-desus de mes yeux, de mon nez, ma bouche, terrible envie qu'elle s'asseoit. Et non! Jusqu'au bout elle m'a fait languir, désirer et finalement elle m'a fait relever. Quelle frustration mais elle a eu raison. Elle décide, ma place est d'obéir et de la satisfaire et non le contraire!
Je me suis endormi très excité et réveillé dans le même état mais aujourd'hui je me garderai bien de demander quoi que ce soit. Et pourtant j'ai terriblement envie d'être son coussin!
En plus j'ai reçu l'ordre de faire les poussières aujourd'hui et elle m'a prévenu qu'elle vérifierait. J'espère qu'elle sera satisfaite. Je sais que j'ai intérêt a bien exécuter ma tâche.
Je vis la vie que j'ai toujours rêvée avec la femme que j'aime. Ma maîtresse est merveilleuse! Quel bonheur d'être son esclave!

10 octobre 2005