Dimanche 4 juin
7
04
/06
/Juin
01:00
Ce matin j'étais levé tôt, ma Maîtresse en a profité pour dormir plus tard. J'en ai profité pour aller récupérer à la coordonnerie les bottines de ma Maîtresse, les talons ont été refaits ! Et puis je suis rentré à la maison avec deux chaussons aux pommes pour son petit-déjeuner, elle adore ça. Elle était toute heureuse lorsque je lui ai amené son plateau !
Ce midi à table ma Maîtresse me regarde et me dit " ça va mon esclave", quel bonheur d'entendre mon nom après ces deux jours. J'en riais de joie, ce qui l'a fait rire aussi.
Dans l'après-midi nous avons eu l'ocasion de reparler de ma faute de jeudi. Je lui disais que j'étais vraiment désolé, que j'étais conscient de la gravité de ma faute, que je n'étais pas parfait et que je n'étais qu'un homme. Tout en aquiescant elle m'a demandé pourquoi les hommes soumis disent souvent et avec sincérité qu'ils ne sont que des hommes, ne valant pas grand chose. Je lui ai expliqué ce que cela voulait dire pour moi. La valeur d'un soumis est dans les yeux de sa Maîtresse, quand une Maîtresse est satisfaite c'est alors ce qui fait la valeur du soumis, c'est sa Maîtresse qui lui donne sa valeur car elle lui est supérieure. Et moi depuis que je vis comme ça je suis heureux, plus heureux qu'avant ou on essayait de vivre sur un pied d'égalité. Je pense réellement que ma Maîtresse m'est supérieure. D'ailleurs un soumis quand il est corrigé durement, sévèrement par sa Maîtresse ressent la douleur physique mais aussi le plaisir de sentir le pouvoir et la suprématie de sa Maîtresse, et qu'elle fait ça pour qu'il s'améliore et satisfasse mieux sa Maîtresse.
Je suis parce que je suis l'esclave de ma Maîtresse, j'existe grace à elle, ma vie n'a de sens que par et pour elle, c'est pour ça que ma vie lui appartient.
C'est comme le sexe. Le pouvoir qu'à une Maîtresse de frustrer son esclave, et la liberté qu'elle a d'avoir autant de plaisir qu'elle veut, affirme sa supériorité et l'inégalité naturelle entre l'esclave et sa Maîtresse. La Maîtresse existe sans l'esclave, mais l'esclave n'existe pas sans la Maîtresse ! C'est ce qui justifie qu'elle ait tous les droits, sans aucune exception.
Ce soir ma Maîtresse était en discussion sur msn, elle est venue vers moi a posé son pied sur mon sexe et m'a ordonné de faire du repassage me disant que j'aurais une petite récompense après. Au bout d'une heure elle est revenue vers moi, après avoir fini ses conversations. Elle s'est mise derrière moi et m'a caressé les fesses d'une main et le sexe de l'autre, elle m'a permis d'arrêter le repassage.
Elle m'a fait allonger devant le canapé après m'avoir oté mon tee-shirt. Elle est alors monté sur mon dos avec ses nouvelles chaussures, aux talons carrés. Ses talons sont redoutables très coupants sur les bords et aux coins acérés. Elle enfonçait ses talons dans mon dos, appuyant fortement, martelant, marquant ma peau. Elle m'a dit qu'ainsi elle mettait un point final et que je me souvienne de ce qui s'était passé et que ne cela se reproduise plus. Cela faisait très mal. Elle est descendue et comme j'avais gémi elle m'a dit qu'elle devait recommencer. Elle a ajouté que je n'avais pas à me plaindre, que je ne saignais pas. C'est vrai qu'une fois avec des talons em me piétinant elle m'avait fait saigner un peu, cela avait été délicieux. Donc elle est remontée de nouveau et j'ai réussi à n'émettre aucun son malgré les efforts qu'elle faisait en me marchant dessus. Elle est descendue et a avancé au-dessus de moi en me marchant sur les avant-bras. Elle m'a coincé la tête entre ses chaussures et a serré, puis elle a posé son pied sur ma nuque en me positionnant pour que je sois le visage sur l'autre chaussure. J'ai léché sa chaussure pendant qu'elle me plaquait dessus. Puis elle m'a présenté ses deux chausures sous mon visage pour que je les embrasse. Ensuite elle m'a plaqué le visage au sol en appuyant sur ma joue avec sa semelle et elle a dit " quelque soient les circonstances tu ne dois penser qu'à mon bien-être". Elle a raison !
Après elle m'a fait allonger sur le dos au pied du canapé, elle s'est asise et a mis ses pieds sur mon ventre et mon torse, jouant à me griffer avec ses talons, les enfonçant dans ma peau avec force en maintes endroits, me faisant lécher et embrasser sa semelle. Bien sur je n'ai pas gémi. Cela a duré longtemps. Elle s'est penchée sur moi et a dégraffé mon jeans, elle a commencé à me caresser le sexe, de plus en plus fort, le serrant dans sa main, me caressant avec douceur, alternant tout ça. Le plaisir montait, alors que la jouissance n'allait pas tarder, elle a stoppé net me disant que c'était surement très désagréable et qu'ainsi je m'en rappelerai. Quelle frustration ! Elle a conclu en disant " ne te plains pas car ce n'était pas en public". En même temps je dois dire être un jour soumis par ma Maîtresse en public me fait fantasmer !
Elle m'a ordonné de la déchausser et de lui crémer les pieds. Mais avant j'ai pu lécher ses orteils dès la sortie des chaussures, passant ma langue avec délice autour et entre chaque orteil. Puis je lui ai massé avec amour ses pieds de déesse.
Elle est allée se coucher, je l'ai déshabillé à genoux. Quand je lui ai enlevé son string elle a tendu ses fesses vers moi pour que je puisse y déposer un baiser puis sur son pubis. Un seul,baiser, mais déja le bonheur de pouvoir la vénérer de nouveau !
La correction a été sévère, mais ma Maîtresse a eu raison, je dois encore m'améliorer pour mieux la servir. Ma Maîtresse n'a pas à supporter les approximations et les imperfections de son esclave. Ma faute a été punie et j'en remercie ma Maîtresse.
Mais le meilleur a été quand ma Maîtresse après m'avoir corrigé m'a regardé avec des yeux tendres pour me dire " je t'aime mon esclave".
Je t'aime ma Maîtresse.
Commentaires